1 1947, Doctrine fabuleuse. Troisième dialogue sur la carte postale. L’homme sans ressemblance
1 qui aura le mieux tenu son rôle social. L’agent. Avouez que votre idée du héros manque totalement de sex-appeal ! De plus, si
2 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
2 ent et qui est leur seule mesure. Le critique. J’ avoue que je vous suivrais mieux si vous pouviez me montrer chez Descartes
3 ropositions théologiques. Souffrez alors que je m’ avoue incompétent, et que j’assiste sans vous interrompre davantage aux dév
4 ète. Mais alors on le jugera selon sa fin. Vous m’ avouerez que dans ces conditions il faut une sorte de naïveté très singulière
3 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
5 ce Français, c’est passer au soleil : c’est donc avouer son terrible secret ! Il arrive souvent qu’un étranger s’initiant aux
4 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
6 orter un mensonge dans leur vie intime. J’ai tout avoué sans me chercher d’excuse. Et comme elle se taisait encore, je lui ai
5 1947, Doctrine fabuleuse. La gloire
7 n. Beaucoup d’hommes n’imaginent pas qu’on puisse avouer sa vanité, ou bien ils croient que ce serait naïf ; et si l’on avoue
8 bien ils croient que ce serait naïf ; et si l’on avoue son orgueil, ils croient que c’est par vanité… Je suis homme : donc v
9 tructif et amusant. Je veux ma gloire, et je ne l’ avoue jamais — je fais le modeste — d’où vient cette pudeur ? Je ne veux pa