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capitale : elle suffit à changer l’atmosphère. L’
avouerai
-je ? Aux premiers contacts, dans la rue ou à la maison, je les trouva
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alades qu’il faut craindre, lorsqu’ils refusent d’
avouer
leur maladie, et qu’ils puisent dans leur fièvre seule une énergie su
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oup à ses voisins, en toute inefficacité. Il faut
avouer
que l’Américain ne s’en prive pas, et s’étonne fort de voir certains
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érogatives et de leur budget particulier, mais il
avoue
que c’est une tâche impossible. Dans le domaine des transports, par e
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idaire une menace pour leur civilisation semblent
avouer
par là que cette dernière n’est plus très saine, qu’elle « sent » déj
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u rêve. J’eusse préféré ne la voir jamais, mais j’
avoue
qu’elle est très jolie, malgré la minceur de ses lèvres. Un peu plus
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iteur pour leur faire crédit, c’est avec l’espoir
avoué
qu’un jour ou l’autre ils deviendront adultes, et feront à leur tour
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nous fascinent et que nous cultivons, sans nous l’
avouer
, lui font peur et l’éloignent vite de l’être ou des circonstances qui