1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 capitale : elle suffit à changer l’atmosphère. L’ avouerai -je ? Aux premiers contacts, dans la rue ou à la maison, je les trouva
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
2 alades qu’il faut craindre, lorsqu’ils refusent d’ avouer leur maladie, et qu’ils puisent dans leur fièvre seule une énergie su
3 oup à ses voisins, en toute inefficacité. Il faut avouer que l’Américain ne s’en prive pas, et s’étonne fort de voir certains
4 érogatives et de leur budget particulier, mais il avoue que c’est une tâche impossible. Dans le domaine des transports, par e
5 idaire une menace pour leur civilisation semblent avouer par là que cette dernière n’est plus très saine, qu’elle « sent » déj
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
6 u rêve. J’eusse préféré ne la voir jamais, mais j’ avoue qu’elle est très jolie, malgré la minceur de ses lèvres. Un peu plus
7 iteur pour leur faire crédit, c’est avec l’espoir avoué qu’un jour ou l’autre ils deviendront adultes, et feront à leur tour
4 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
8 nous fascinent et que nous cultivons, sans nous l’ avouer , lui font peur et l’éloignent vite de l’être ou des circonstances qui