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nt en fin de compte leurs intentions, vaticinées,
avouées
ou déguisées, quelles que soient leurs « résistances à l’analyse » ou
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refoulé par la conscience pure du clergyman, mais
avoué
par certains de ses poèmes et trahi par les plaisanteries souvent fér
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te société. « Avec une objectivité relative, il s’
avoua
que les relations entre Agathe et lui avaient comporté dès le début u
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un roman, et nous passionne ? Les préférences qu’
avoue
le public interrogé devraient le porter, si l’on en croit l’enquête,
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’est encore gagné, mais quelques-uns déjà peuvent
avouer
quelque chose sous le couvert du mythe. Tel est le « terrain » biolog
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rché, au Heu de nous en reconnaître indignes et d’
avouer
que nous refusons d’en payer le prix. C’est là, dit Kierkegaard, « un
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ferait-on pour n’être pas gai ! » Cependant qu’il
avoue
en aparté : « Je dois être cruel, mais c’est pour être tendre… » Il c
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ture alternée de Kierkegaard et de Shakespeare, j’
avoue
qu’il m’est arrivé plus d’une fois de ne plus bien savoir lequel des
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est pourquoi il est écrit : « Ne jugez pas ! ». J’
avoue
que je comprends mal, ou plutôt que je réprouve ces discussions sur l
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neveu André, le futur prix Nobel. André venait d’
avouer
à son oncle qu’il avait eu, à 25 ans et pour la première fois, des «
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ose caractérisée. Cette peur est plus ouvertement
avouée
, voire commentée et justifiée, elle est donc plus visiblement active