1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Invasion de l’érotisme au xxe siècle
1 nt en fin de compte leurs intentions, vaticinées, avouées ou déguisées, quelles que soient leurs « résistances à l’analyse » ou
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
2 refoulé par la conscience pure du clergyman, mais avoué par certains de ses poèmes et trahi par les plaisanteries souvent fér
3 te société. « Avec une objectivité relative, il s’ avoua que les relations entre Agathe et lui avaient comporté dès le début u
4 un roman, et nous passionne ? Les préférences qu’ avoue le public interrogé devraient le porter, si l’on en croit l’enquête,
5 ’est encore gagné, mais quelques-uns déjà peuvent avouer quelque chose sous le couvert du mythe. Tel est le « terrain » biolog
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
6 rché, au Heu de nous en reconnaître indignes et d’ avouer que nous refusons d’en payer le prix. C’est là, dit Kierkegaard, « un
7 ferait-on pour n’être pas gai ! » Cependant qu’il avoue en aparté : « Je dois être cruel, mais c’est pour être tendre… » Il c
8 ture alternée de Kierkegaard et de Shakespeare, j’ avoue qu’il m’est arrivé plus d’une fois de ne plus bien savoir lequel des
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes II. Les deux âmes d’André Gide
9 est pourquoi il est écrit : « Ne jugez pas ! ». J’ avoue que je comprends mal, ou plutôt que je réprouve ces discussions sur l
5 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Annexes — Post-scriptum
10 neveu André, le futur prix Nobel. André venait d’ avouer à son oncle qu’il avait eu, à 25 ans et pour la première fois, des « 
11 ose caractérisée. Cette peur est plus ouvertement avouée , voire commentée et justifiée, elle est donc plus visiblement active