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oilà si longtemps, si longtemps qu’elles ont fui.
Avril
et mai et juin sont lointains, Je ne suis plus rien, je n’aime plus v
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nal de Souabe À la tombée d’une nuit froide, en
avril
, le voyageur descend dans un vieux bourg de Souabe, — quelques lumièr
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luse proche, — ce sera sa première habitude. 22
avril
1929 Mes fenêtres donnent sur la rivière. En m’y penchant je puis
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n, est-ce qu’ils font encore vraiment mal ? 24
avril
1929 Les habitants de la maison me paraissent peu nombreux, mais s
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asion, mais comme elles font, pas trop tôt. 28
avril
1929 Ils ont de la peine à comprendre pourquoi je suis venu vivre