1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 ois que j’avais omis de le noter jusqu’ici.) 2 avril 1934 Voici l’île purifiée et rajeunie, des fleurs partout, la gran
2 ans les revues sur ce que d’autres ont créé. 3 avril 1934 La solitude est une jeunesse. Elle nous apprend cette chose n
3 nces en un accord qui comble toute attente…) 7 avril 1934 Recette pour vivre de peu. La première condition c’est de ga
4 faite, c’est bien ainsi, et très complet.) 10 avril 1934 Inconcevable lacune dans ces notes : je n’ai pas encore parlé
5 les deux sous, mais il faut se défendre ! » 15 avril 1934 La culture et les gens. — Souvent, quand je me tire du livre
6 z forts pour penser les yeux bien ouverts ? 16 avril 1934 J’ai retrouvé dans Montaigne ce passage dont je croyais bien
7 ole à ne plus se reconnaître dans l’écrit ? 17 avril 1934 La poule noire couve depuis hier ses treize œufs. J’ai semé d
8 rection d’un manuscrit nous a fait vivre jusqu’en avril . Pendant ce temps, j’ai pu écrire quelques articles… Mais j’éprouve u
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
9 es en communautés pacifiques ? Vendredi saint ( avril 1935) Pour vivre de peu. — (Avoir peu.) Atteindre cet état que l’
10 n groupe, car il y a peu de « personnes ».) 15 avril 1935 La sieste de la Marquise. — Nous espérions pouvoir dormir de
11 ture sur le fait. » Vertige de l’animalité. 17 avril 1935 Ça n’a pas encore cessé chez les chiens. Cette nuit, les crap
12 la « révélation des enfants de lumière » ! 21 avril 1935 Voici les affiches des partis, pour la campagne d’élections m
13 s fascistes doivent être de drôles de gens. 25 avril 1935 Communisme. — Dans la petite librairie grande ouverte sur la
14 s la mesure où je l’aime, ils me dégoûtent. 28 avril 1935 Le problème des gens. — Comment arriver à ne plus s’indigner