1 elui qui fut son maître. Dans son Livre des douze béguines , il dénonce « ces faux prophètes » — Eckhart et ses disciples — qui «

2 t et le cœur » fait dire Ruysbroek à l’une de ses béguines parlant du Christ. « Je me suis perdue dans sa bouche », dit une autr

3 chez les disciples de Joachim de Flore, chez les béguines et les béguards des Pays-Bas, chez les lollards anglais, chez les pre

4 elui qui fut son maître. Dans son Livre des douze béguines , il dénonce « ces faux prophètes » — Eckhart et ses disciples — qui «

5 t et le cœur » fait dire Ruysbroek à l’une de ses béguines parlant du Christ. « Je me suis perdue dans sa bouche », dit une autr

6 chez les disciples de Joachim de Flore, chez les béguines et les béguards des Pays-Bas136, chez les lollards anglais, chez les

7 elui qui fut son maître. Dans son Livre des douze béguines , il dénonce « ces faux prophètes » — Eckhart et ses disciples — qui «

8 et le cœur », fait dire Ruysbroek à l’une de ses béguines parlant du Christ. « Je me suis perdue dans sa bouche », dit une autr

9 chez les disciples de Joachim de Flore, chez les béguines et les béguards des Pays-Bas125, chez les lollards anglais, chez les

10 » qu’il veut détruire, et plus barbare. 12.Les béguines  : du catharisme à la mystique chrétienne par la poétique courtoise

11 « être coiffé de quelqu’un », être amoureux.) Les béguines , confondues avec les cathares au début, furent souvent persécutées pa

12 oumises à l’ordalie. L’époque où apparaissent les béguines « est non pas celle de l’affranchissement de la femme, mais celle où

13 e souligner que la seule existence des poèmes des béguines réduit à néant les raisonnements des historiens qui s’efforçaient de

14 e part, que le catharisme s’est infiltré chez les béguines et les béguins de saint François, dès le xiiie siècle. (Cf. supra, p

15 rtir du catharisme, lollards anglais, béguards et béguines des Flandres et de la Rhénanie, joachimites en Italie (et jusque sur