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toujours à gauche, on arrive fatalement devant la
Banque
d’État. Juste à temps pour voir se fermer les guichets, aux sons du H
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lés par dégoût, l’alliance russe préparée par les
banques
, l’entente franco-anglaise établie dans le silence du cabinet de Delc
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, c’est-à-dire à la Presse (payée par l’État, les
banques
et le capital) et à la Publicité. L’homme n’eut plus de « prochain »,
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vons dit. Quand les droites auront compris que la
Banque
de France est contre la patrie, quand les gauches auront compris que
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opulaire n’a-t-il pas proposé de nationaliser les
banques
? Et l’Humanité, de confisquer les fortunes excessives ? Et l’Œuvre,
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uste comment cela se fait, la nationalisation des
banques
. Et l’on ne voit pas qui aurait le pouvoir de désarmer un colonel en
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ieurs, que la moderne féodalité des trusts et des
banques
, et que l’ancienne féodalité des grands seigneurs. Partis ! Bastilles
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itage. 43. Ce n’est pas la nationalisation de la
Banque
de France ou de l’industrie des canons — comme on feindra de le croir
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hés connus et exploités sont saturés. Les grandes
banques
italiennes sautent l’une après l’autre : l’effondrement du crédit a t
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Qu’il suffise de rappeler pour mémoire le rôle de
banques
et des trusts dans le financement des guerres modernes et l’armement