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t de l’organisation qui m’invitait était un grand
banquier
, ami des lettres. Il vint m’attendre au débarqué de l’avion et me con
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e n’importe quoi sur cette traversée en avion… Le
banquier
comprend très bien cela. Il parle beaucoup pour me réconforter, racon
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t cette fois-ci non sans terreur, que la femme du
banquier
, elle aussi, n’a presque pas touché aux mets servis. Le déjeuner se t
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peu de son mystère si l’on songe que la femme du
banquier
était lectrice de romans — et sans doute de vos propres romans ?… Et