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dominer les instincts ? Et comment supprimer « le
besoin
de haine » dégénérant en « psychose collective » ? C’est écrit de Pot
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leur vocation commune. ⁂ Solutions dispersées,
besoins
communs Qu’a-t-on fait dans ce sens depuis que la grande question
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défis du temps ? Est-il coordonné à la mesure des
besoins
? Aurait-il réussi à s’imposer à la conscience des Européens ? Hélas
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institution unique et compétente. L’Europe a donc
besoin
d’un ministère des Affaires étrangères européennes. Mais de même, dan
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ions culturelles européennes qui se fait jour. Le
besoin
d’une coordination entre nos forces culturelles, et le besoin de repr
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coordination entre nos forces culturelles, et le
besoin
de représentation commune de ces forces vis-à-vis du reste du monde n
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raissent incapables, et d’autres n’en ont le même
besoin
vital. Écartons pour longtemps l’Afrique noire, le Sud-Est asiatique
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’est aussi… La France est « un grand pays qui n’a
besoin
de personne ». L’Angleterre est liée aux dominions par tous les océan
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diminuer. D’une année à l’autre le public a moins
besoin
de ces marchandises qui ne peuvent être produites en leur pureté ni r
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cle : Le savant seul, et l’artiste supérieur ont
besoin
de voyager hors de l’État commercial fermé : il ne doit pas être perm
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sins ». Certes, elle va protéger, par la force au
besoin
, « les mouvements légitimes de croissance et de nationalité des peupl
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ne saurait être instituée d’un seul coup. Elle a
besoin
, d’abord, d’une base réelle, sur laquelle elle repose et d’où la prem
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sitantes, qui, dans notre Europe hâtive, auraient
besoin
de demi-siècles pour surmonter de tels excès de patriotisme atavique
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estation efficace. Mais aussi, ils éprouvèrent le
besoin
de se grouper pour dialoguer et réfléchir ensemble sur les immenses p
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l’inquiétude, une certaine révolte sont aussi des
besoins
vitaux. Et alors se révèle l’autre aspect de la culture, qui n’est pl
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l’inquiétude, une certaine révolte sont aussi des
besoins
vitaux. Et alors se révèle l’autre aspect de la culture, qui n’est pl
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rs que les grandes inventions ont « répondu à des
besoins
», économiques, alimentaires et matériels. Quelques-uns cependant nou
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mie, nous ne trouvons pas le désir de gain, ni le
besoin
de confort, ni la volonté de puissance, mais au contraire des rêves m
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utilitaire, économique ou financier. Ce sont des
besoins
d’un tout autre ordre, psychologiques et moraux, qui ont guidé l’intu
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inventeurs. L’explication de la technique par des
besoins
utilitaires ou économiques repose en somme sur un anachronisme, et su
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iques », et prétendent que ces lois expriment les
besoins
matériels de l’homme des masses. La vérité est simplement inverse : l
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t simplement inverse : l’homme moyen n’éprouve le
besoin
de prendre le train, l’avion, ou son auto, que parce que quelques fou
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qui devaient permettre l’industrie moderne. Si le
besoin
matériel expliquait les créations de la technique, et si les produits
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et si les produits de l’industrie répondaient aux
besoins
matériels, pourquoi ferait-on de la publicité ? Il n’en reste pas moi
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nt pas les lois de l’économie et encore moins les
besoins
matériels — quand les 2/3 de l’humanité souffrent la faim — mais c’es
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qu’il est poussé jusqu’au bout, et qu’il n’a plus
besoin
d’être servi, mais seulement surveillé par l’homme. Mais il y a plus.
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et de l’autre. On nous répète que notre société a
besoin
d’innombrables techniciens, et qu’il s’agit de les former d’urgence a
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aux ; qu’elle s’en nourrit et même les invente au
besoin
. Sans les obstacles accumulés entre les amants légendaires — le princ
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où Denis de Rougemont les vécut. » ab. Pour les
besoins
de cette édition numérique, on a attribué un style spécifique aux dat