1 uit le prochain, veut la distance et l’invente au besoin , pour mieux se ressaisir et s’exalter. » Cette passion qui se nourrit

2 et science, hérésie créatrice et saine doctrine, besoin de sécurité et goût du risque, conformité qui maintient les valeurs,

3 nos jugements moraux, nos réflexes sociaux et nos besoins économiques. Tout cela nous incite aussi à remettre en question ces d

4 du profit en tant que but suprême, privilégie les besoins collectifs par rapport à la consommation individuelle, et là, nous so

5 ée occidentale, l’Un et de Divers s’opposent, ont besoin l’un de l’autre, et ne se réalisent que l’un par l’autre. Le fédérali

6 ’une terre, d’un peuple, d’une histoire, de leurs besoins et de leurs désirs, à la rencontre d’un appel qui vient de l’Europe e

7 ère et selon ses goûts, qui définissent ses vrais besoins . La région ne doit pas être imaginée comme un mini État-nation, qui a

8 isin mais de coopérer avec lui. Elle n’a donc nul besoin d’être, comme on le répète, « de taille européenne » — ce qui ne veut

9 mour-action peut-il s’en passer ? Si la passion a besoin d’obstacles pour vivre, elle en trouvera toujours, même dans l’amour-

10 ls d’histoire et de géographie. Décréter pour les besoins de la cause que le Rhin sépare et que le Rhône unit donne la mesure.

11 se fait jour en lui que ce n’est plus aux seuls «  besoins de l’économie » qu’il s’agit désormais de répondre (ils ne sont trop

12 dividende de leurs actionnaires), mais plutôt aux besoins de la société humaine, de la communauté humaine sous toutes ses forme

13 ces culturelles et de handicaps en résultent. Nul besoin d’avoir lu Homère, Platon, Virgile et saint Thomas, Hölderlin et Rous

14 me génétique. 1. Le nationalisme ou partisanerie, besoin et goût d’être d’un parti contre un autre, indépendamment de leurs bu

15 autre, indépendamment de leurs buts allégués. Ce besoin et ce goût stimulent sans aucun doute, provoquent l’émulation, l’arde

16 connus et trop souvent exaltés pour qu’il me soit besoin de les analyser. Il s’agit de : —l’esprit critique ou remise en quest

17 dépasse le mariage vers un au-delà où il n’a plus besoin de la société et du monde. Il a tout dans une femme, il se sépare du

18 tout le monde, indéfiniment. On n’avait donc pas besoin de politique de développement car on pensait que le progrès était inf

19 s. C’est pour cela, précisément, que j’éprouve le besoin d’analyser les difficultés qu’elle implique, apories logiques ou anti

20 très bien, ou seront déjà blasés, occupés par des besoins et des soucis nouveaux. Il faudrait donc prévoir non seulement cet av

21 e contre les nuisances, la saturation de certains besoins et la création concomitante d’autres besoins. On se limitera dans ces

22 ains besoins et la création concomitante d’autres besoins . On se limitera dans ces pages à l’Europe de l’Ouest, c’est-à-dire au

23 aurait pas de sens ; si rien n’était variable, le besoin de prévision serait nul. Par rapport à la participation sociale, civi

24 2. Vie personnelle et sociabilité Certains besoins fondamentaux de l’homme occidental ne semblent pas susceptibles de di

25 tence ou à cette existence même. Ainsi, le double besoin de vie personnelle et de sociabilité, qu’exprime le couple d’adjectif

26 fs cher à Hugo : solitaire et solidaire. C’est un besoin doublement frustré dans les villes de la société industrielle, où l’h

27 e à l’avenir. 3. Agrément du cadre Un autre besoin qui paraît constant est celui de l’agrément du cadre : « Que l’on viv

28 uvent déguisé en individualisme libertaire) et le besoin inverse et complémentaire du bon voisinage, de sociabilité et par sui

29 ilité et par suite de civisme (qui peut cacher un besoin d’intervention moralisante chez les voisins, donc un appétit de puiss

30 leur évidente inadaptation aux dynamismes et aux besoins de la société post-industrielle leur ménage un avenir de plus de deux

31 olarité (ou alternance) campagne-ville traduit le besoin fondamental de l’homme : solitude-société, et doit donc être surveill

32 ongueur de journée que le monde de demain a moins besoin de producteurs que de créateurs. 8. E. M. Cioran, Précis de dé

33 ire, la foule s’y jette et le supprime. L’homme a besoin de solitude. Mais la plupart n’osant aimer que ce qui par d’autres es

34 its commerçants et de riches retraités. Un pays a besoin de communications, routes, autobus et téléphone, et de stations d’épu

35 prolifération des jargons spécialisés. Le simple besoin de comprendre notre monde, nos actions et les produits de la pensée,

36 ors de toutes les prises de l’individu, répond le besoin d’une différenciation sécurisante, le besoin de petites communautés o

37 d le besoin d’une différenciation sécurisante, le besoin de petites communautés où la participation civique redevienne possibl

38 complètement Suisse. Vous habitez en France. J’ai besoin d’être à cheval sur une frontière. Je sens les choses françaises comm

39 aux ; qu’elle s’en nourrit et même les invente au besoin . Sans les obstacles accumulés entre les amants légendaires — le princ