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éel, tantôt de promoteurs qui n’invoquent que les
besoins
supposés et les profits escomptés, et pensent qu’après tout, cela dur
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’à ses humeurs. L’auto ne répondait alors à aucun
besoin
du public, bien au contraire, comme Henry Ford l’a noté. Aujourd’hui,
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bouclée. Résumons-nous : vers 1890, personne n’a
besoin
de l’auto. Mais Henry Ford réussit à l’imposer au monde, en quelques
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entre ? On dit absolument n’importe quoi pour les
besoins
de la cause. Comment êtes-vous parvenu à associer l’idée d’Europe à l
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radition centralisatrice sur laquelle je n’ai pas
besoin
d’insister. Les régions au sens réel, devraient être « reconnues » et
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un jour ou l’autre. Il aurait fallu une étude des
besoins
d’une population, de la conscience actuelle ou virtuelle qu’elle a d’
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L’important c’est d’en avoir. Parce que l’homme a
besoin
à la fois de racines et de mobilité. Si on le force à être enraciné c
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nsion entre des aspirations contradictoires. Il a
besoin
de se sentir chez lui quelque part et il a besoin de circuler. Besoin
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besoin de se sentir chez lui quelque part et il a
besoin
de circuler. Besoin de communauté et besoin de solitude. Est-ce que l
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chez lui quelque part et il a besoin de circuler.
Besoin
de communauté et besoin de solitude. Est-ce que la région, reposant s
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il a besoin de circuler. Besoin de communauté et
besoin
de solitude. Est-ce que la région, reposant sur la commune, reposant
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employés. Cela ne correspond pas tout à fait aux
besoins
de l’économie industrielle qui, par une intégration très poussée et u
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nauté donnée, l’équilibre entre la hiérarchie des
besoins
… c’est cela la politique véritable, ce n’est pas de savoir si l’on es
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opées en bulles ; la manipulation des désirs, des
besoins
et des fantasmes par la Publicité et la Télévision ; les ravages de l
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i-même, mais seulement la croissance illimitée de
besoins
et de produits matériels, croissance dont on a remarqué que le rythme
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s, comme ce qui nous permet de les éprouver et au
besoin
de les transvaluer, nous avons vu se dégager une morale de la vocatio
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s se croisaient au point précis où j’éprouvais le
besoin
de dépasser — sans rien en sacrifier d’ailleurs — à la fois mes récen
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réées, dans les années à venir, pour répondre aux
besoins
croissants de coordination continentale dans les domaines de l’énergi
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ne le répétera jamais assez : ce dont l’Église a
besoin
, ce qui a été consacré en l’an 787 par le IIe concile œcuménique de N
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t concentré entre quelques mains — et on n’a plus
besoin
d’être Napoléon pour être à la tête d’un État moderne — le glissement
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is la réciproque n’est pas possible). Il faut, au
besoin
, créer des équipes de travail par-dessus les frontières. Certaines re
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peut faire ensemble et pour lesquelles on n’a pas
besoin
d’autorisations. Si vous demandez à d’autres le droit d’être libre, v
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lade sait ce que je veux dire. Un homme de cœur a
besoin
qu’on lui pardonne de jouir de son bien-être pendant que d’autres sou
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s les voies d’un dépassement de nos petitesses. «
Besoin
de grandeur », gémit Ramuz, crispé. Mais démontrer aux hommes qu’ils
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une société post-industrielle serait celle où les
besoins
et les désirs de la société industrielle étant satisfaits et comblés,
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à la contemplation ou au bouddhisme zen. Car les
besoins
et les désirs de la société industrielle, aussi nommée société de con
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roduit National Brut ; la création continuelle de
besoins
nouveaux « justifiant », si l’on peut dire, la volonté de produire to
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ntraste entre les deux types de sociétés est là :
besoins
de l’industrie ou besoins de l’homme ? C’est sur l’opposition de ces
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es de sociétés est là : besoins de l’industrie ou
besoins
de l’homme ? C’est sur l’opposition de ces deux conceptions que je vo
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ent décisif, se situe donc dans la définition des
besoins
humains. La société industrielle, quoi qu’on en dise, n’est pas née
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qu’on en dise, n’est pas née pour satisfaire des
besoins
réels de l’homme, mais bien pour les utiliser, et puis pour les multi
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de fomenter, de susciter en vue de son profit des
besoins
neufs, artificiels, quitte à s’en prévaloir ensuite, une fois ces bes
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ls, quitte à s’en prévaloir ensuite, une fois ces
besoins
devenus invétérés, pour invoquer les prétendus impératifs de leur cro
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a. C’est dire qu’il va changer la nature même des
besoins
de l’homme occidental, et surtout la conscience que l’homme a de ses
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al, et surtout la conscience que l’homme a de ses
besoins
, en faisant passer au premier rang le plus artificiel et le dernier v
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répugnance au début de ce siècle, est devenue le
besoin
numéro un de la plupart des Occidentaux. Mais ce n’est pas encore le
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un bouton. » L’aventure de l’Auto est bouclée. Le
besoin
qui n’existait pas est devenu prioritaire. L’Américain moyen — et nou
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dustrielle veut augmenter sans cesse l’empire des
besoins
, parce que c’est le besoin qui soumet l’homme aux forces matérielles,
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ns cesse l’empire des besoins, parce que c’est le
besoin
qui soumet l’homme aux forces matérielles, aux « impératifs technique
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donc de plus en plus nécessiteux, dépendants des
besoins
matériels qu’elle multiplie par la publicité. La société nouvelle, vi
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uvelle, visant à satisfaire au lieu d’exciter les
besoins
, cherchera les moyens de les réduire sur le plan matériel ou physique
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l nous faut un nouveau marketing, qui analyse les
besoins
réels, et non les possibilités de vendre plus. L’ancien décelait les
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ossibilités de vendre plus. L’ancien décelait les
besoins
virtuels, induits par la publicité, ou déduits de courbes de consomma
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n Italien, éprouve une sorte d’embarras, comme un
besoin
de s’excuser. « S’excuser de quoi ? Quiconque s’est jamais trouvé au
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lade sait ce que je veux dire. Un homme de cœur a
besoin
qu’on lui pardonne de jouir de son bien-être pendant que d’autres sou
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stérile. Ainsi défini comme la transformation du
besoin
en jouissance, le phénomène érotique est pratiquement universel. Tout
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les qu’on lui oppose, ou qu’elle sait inventer au
besoin
. Sans obstacles, point de passion. « Les peuples heureux n’ont pas d’
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ssein « d’exciter les passions » pour plaire à un
besoin
de « tristesse majestueuse ». Racine va se retirer du monde et des pa
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pel toujours plus aux forces qui sont en nous, le
besoin
que nous avions de forces extérieures diminuerait d’autant, et que no
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té fondamentale. Unité dans la diversité — est-il
besoin
de le répéter ? Saisir ensemble ces deux termes que la logique oppose
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le CERN étudie la constitution de la matière par
besoin
de savoir pur — les amateurs d’applications techniques ou militaires
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chefs ; mais la plupart cèdent tout simplement au
besoin
de Sécurité, c’est-à-dire, pratiquement, d’abandon de tous leurs droi
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mais la plupart sont au contraire motivés par un
besoin
de responsabilité assumée dans la communauté. Comment se sentir libre
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actes ? N’allons pas croire pourtant qu’entre le
besoin
de puissance à tout prix et le besoin de liberté à tous risques, l’hu
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qu’entre le besoin de puissance à tout prix et le
besoin
de liberté à tous risques, l’humanité se divise en deux camps bien tr
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moyens de la liberté, vous n’aurez peut-être plus
besoin
de la puissance. Choisir les centrales nucléaires — quelle que soit l
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ns de dimension, l’autonomie, l’autosuffisance au
besoin
, la confiance dans le prochain. Notre problème n’est pas des moyens e
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omprend pourquoi, tôt ou tard, l’État-nation aura
besoin
d’y recourir. La guerre, par essence, le fortifie puisqu’elle lui per
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es et de plus en plus d’autoroutes. Il n’est pas
besoin
d’être prophète pour comprendre que d’ici à cinq ou dix ans, la quest
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t à vendre des centrales nucléaires — je n’ai pas
besoin
de dire lesquels, tout le monde le sait — c’est une manœuvre totaleme
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et ceux qui en vivent, s’est trompé sur ses vrais
besoins
. « Il n’y a d’impératifs que de la nature » et nous devons lutter con
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particulièrement frappant de la manipulation des
besoins
humains nous est fourni par le développement de l’automobile. Denis d
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que la voiture ne correspondait au départ à aucun
besoin
humain existant (les Américains trouvaient ce moyen de locomotion bru
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nde anonyme et artificiel, où l’on créait de faux
besoins
, où la disparition de toute communauté véritable conduirait à des dés
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éagir, « de retrouver nos vrais désirs, nos vrais
besoins
et les vraies fins vers lesquelles ils nous portent ». « À vous de jo
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a communauté est en train de disparaître, mais le
besoin
« d’être ensemble » demeure vital. […] Hitler a répondu à la question
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hui doit apprendre aux jeunes à reconnaître leurs
besoins
réels et à critiquer l’aliénation collective crée par la publicité, l
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e vilaine action en trompant les hommes sur leurs
besoins
et en falsifiant leur désir à la source même. À 21 ans, j’ai écrit un
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dans le monde capitaliste, les hommes avaient un
besoin
fondamental de communauté. Nos sociétés n’avaient pas de raison à ce
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unauté. Nos sociétés n’avaient pas de raison à ce
besoin
et Hitler a apporté la sienne, qui était aberrante, à l’Allemagne : l
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du Ciel « préparée comme une épouse », et qui n’a
besoin
« ni du Soleil ni de la Lune pour l’éclairer, car la gloire de Dieu l
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Pourquoi des villes ? Parce que les hommes ont
besoin
de vivre ensemble et tendent vers la libre communauté des personnes.
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e savoir si l’on va repartir de l’homme et de ses
besoins
fondamentaux, ou continuer à partir de la technique et de ses « impér
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« nécessités économiques » des ministres, mais au
besoins
humains des citoyens, qui constituent l’impératif prioritaire, que le
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onde ; et nous n’y pouvons rien. Nous n’avons nul
besoin
de nous l’expliquer pour le subir. Ceci me rappelle une très jolie ép