1 es, d’impératifs technologiques calculés pour les besoins de la cause, laquelle consiste à vendre toujours plus d’énergie et à

2 nous persuader que la croissance sans fin de nos besoins en énergie est désormais inévitable. Alors que chacun voit — ou pourr

3 avouable, en dehors des impératifs du profit, du besoin de puissance et de visées d’ordre essentiellement quantitatif. Or, un

4 topiste ? Je suis utopiste dans la mesure où j’ai besoin d’avoir un but, une image devant moi. Par contre, je reste très préoc

5 t couvrir d’ici la fin du siècle 20 à 30 % de nos besoins , alors que le pétrole couvre actuellement 80 %. Or, si on économise s

6 plement de 20 à 50 %, selon les pays, on n’a plus besoin de centrales nucléaires. Il y a un exemple typique : au lendemain de

7 ermis aujourd’hui de raconter des bobards sur nos besoins , juste parce qu’on est payé pour le faire. Si on ne construit plus de

8 vendent des centrales nucléaires. « L’humanité a besoin de doubler sa consommation d’énergie tous les dix ans », affirment-il

9 gaspillage pour démontrer ensuite que nous avons besoin de ceci ou de cela. Mais on n’en a pas besoin ! Pas besoin d’autant e

10 ons besoin de ceci ou de cela. Mais on n’en a pas besoin  ! Pas besoin d’autant en tous cas. Il y a quelque temps, le directeur

11 ceci ou de cela. Mais on n’en a pas besoin ! Pas besoin d’autant en tous cas. Il y a quelque temps, le directeur de l’agence

12 puisqu’ils ne produiront au mieux que 30 % de nos besoins d’ici à la fin du siècle. Or nous dépendons à 80 % du pétrole. Rester

13 ze en tout, alors qu’une seule suffirait pour les besoins en énergie de la région. Chaque pays veut ignorer ce que fait le vois

14 onnels » entre l’Europe et le reste du monde. Les besoins alimentaires du tiers-monde vont croître d’une manière inévitablement

15 ssement de la population du tiers-monde et de ses besoins par tête en énergie et en matières premières ne peut manquer d’entraî

16 onde ramuzien : Questions, Taille de l’homme t et Besoin de grandeur. ⁂ Pour revenir à Présence de la mort, trois remarques en

17 t donc l’actualise, la réalise, la matérialise au besoin , dans les rapports interhumains créateurs de la communauté. Entre le

18 es, d’ailleurs modifié et parfois enrichi. Est-il besoin de rappeler, au surplus, les échanges culturels et spirituels ménagés

19 écessaires, dans tous nos pays, pour répondre aux besoins culturels, ethniques, économiques, écologiques et sociaux de l’Europé

20 s n’imaginent pas qu’il y a dans l’homme d’autres besoins à satisfaire que matériels et chiffrables obéissant aux calculs de la

21 ut que nous nous fassions. Du coup également, les besoins alimentaires du tiers-monde vont croître de manière catastrophique. L

22 ir la valeur de la monnaie… Ni faire face à leurs besoins allégués en énergie sans menacer l’environnement et s’opposer par la

23 l’Afrique, de l’Asie et de l’Amérique du Sud des besoins qui ne peuvent être satisfaits, parce qu’ils excèdent les ressources

24 logique qui produit à la fois l’accroissement des besoins et la famine dans le tiers-monde, l’augmentation des prix du pétrole

25 valeur de leur monnaie ; — ni faire face à leurs besoins allégués en énergie sans menacer des centaines de milliers de vie ; —

26 es et du rêve celtique, a formé les désirs et les besoins des hommes de ce continent, et donc déterminé en profondeur les forme

27 l’Afrique, de l’Asie et de l’Amérique du Sud des besoins qui ne peuvent être satisfaits, parce qu’ils excèdent les ressources

28 logique qui produit à la fois l’accroissement des besoins et la famine dans le tiers-monde, l’augmentation des prix du pétrole

29 e la valeur de sa monnaie ; — ni faire face à ses besoins allégués en énergie sans menacer des millions de vie ; — ni prévenir,

30 es et du rêve celtique, a formé les désirs et les besoins des hommes de ce continent, et donc déterminé en profondeur les forme

31 le naît d’une prise de conscience de la vie, d’un besoin perpétuel d’approfondir la signification de l’existence, et d’augment

32 yens utilisés et des dangers qui en résultent, au besoin , bientôt proche de l’angoisse, de relier des séries indéfinies d’effe

33 rts en thème — nous devons : 1° abandonner, et au besoin dénoncer la méthode de « l’organisation des échanges » ; 2° exiger la

34 bles, en vertu de la croissance exponentielle des besoins artificiellement provoquée par la publicité industrielle et la propag

35 pas sollicitées et qu’elles servent peut-être les besoins de l’État, mais assurément pas les nôtres. Rien n’empêchera, enfin, q

36 collégial au service des régions, et selon leurs besoins . Un beau jour, on s’apercevra que l’Europe fédérale est virtuellement

37 nne sera virtuellement accomplie. Il n’y aura pas besoin de fortes secousses ni de mouvement séparatiste pour rompre les liens

38 La maîtrise sociale des besoins (avril-juin 1980)bb 1. Toute tentative de maîtrise des besoins — q

39 uin 1980)bb 1. Toute tentative de maîtrise des besoins — qu’elle se veuille sociale, ou scientifique, économique ou politiqu

40 ue, implique que l’on s’entende sur la nature des besoins humains, leur consistance, leur permanence et leur variabilité. 2. Le

41 ance, leur permanence et leur variabilité. 2. Les besoins matériels, physiologiques et moraux d’un individu humain d’âge moyen

42 de ces variations. 3. Exemples de variations des besoins selon les temps et les lieux : depuis quand les Européens ont-ils bes

43 et les lieux : depuis quand les Européens ont-ils besoin de pommes de terre ? de café ? de tabac ? de tomates ? de soja ? de p

44 e siècle, la pomme de terre est devenue l’un des besoins primordiaux de l’alimentation de base des Européens. 4. Exemple de va

45 base des Européens. 4. Exemple de variations des besoins selon les techniques et la mode. En 1890, le dictionnaire allemand Br

46 cela, c’est-à-dire va changer la nature même des besoins de l’homme du xxe siècle en faisant passer au premier rang le plus a

47 e no 1 des années que nous vivons, est devenue le besoin n° 1 de l’homme occidental, que l’on voit trop souvent prêt à se priv

48 tout pour l’acquérir. 5. Exemple de variations de besoins selon les croyances : Comparez le budget de la viticulture en France,

49 s impressionnantes dans l’échelle de mesure des «  besoins  ». J’en donnerai deux exemples contrastés, l’un illustrant l’extrême

50 briété ascétique, extrêmes auxquels peut mener le besoin spirituel, selon qu’il est conçu comme divinisation impérialiste, ou

51 égende russe et l’histoire suisse suggère que les besoins religieux peuvent se porter aussi bien sur des idéologies messianique

52 des idéologies messianiques de puissance, et les besoins tendent vers l’infini, que sur des conduites d’effacement de soi au s

53 au service du prochain dans la communauté, et les besoins deviennent pratiquement nuls, ou pour mieux dire : changent de nature

54 à résoudre les problèmes urgents et concrets des besoins énergétiques (surtout dans le monde industrialisé, tant communiste qu

55 trialisé, tant communiste que capitaliste) et des besoins alimentaires (surtout dans le tiers-monde… pour le moment). À ce « ré

56 s n’imaginent pas qu’il y a dans l’homme d’autres besoins à satisfaire que matériels et chiffrables, obéissant aux calculs de l

57 la classe dirigeante. 7. Le minimum vital. Si les besoins peuvent être pratiquement accrus au-delà de toute possibilité matérie

58 la décence morale (sans exception). c) confondre besoin et « manque » au sens où cela se dit chez les drogués. Application tr

59 est fasciné par leur démence. 8. L’évaluation des besoins se fait aujourd’hui, pratiquement, en termes de politique économique,

60 scientifiques. Elle tend à faire coïncider les «  besoins  » provoqués chez les consommateurs avec les désirs de profit des prod

61 slogan du « tout électrique » destiné à créer le besoin quitte à avouer par son PDG lui-même (voir l’interview de M. Boiteux

62 puissance, de mise au pas de la société) pour nos besoins , voire nos fatalités. Quand un gouvernement éprouve le besoin de just

63 e nos fatalités. Quand un gouvernement éprouve le besoin de justifier par quelques chiffres son besoin de prélever davantage s

64 le besoin de justifier par quelques chiffres son besoin de prélever davantage sur les activités industrielles qu’il fomente,

65 industrielles qu’il fomente, il fait estimer nos besoins par ceux dont l’intérêt est de les majorer bien au-delà du maximum pr

66 t des risques proprement incalculables au nom des besoins à venir arbitrairement évalués. On ne connaît, scientifiquement, ni c

67 connaît, scientifiquement, ni ces risques ni ces besoins , et c’est de cette double ignorance que l’on déduit la certitude qu’i

68 ait d’instituer des commissions d’enquête sur les besoins réels d’une population en nourriture, énergie, transports, formation

69 stratégique, et humaine plutôt qu’économique, des besoins véritables de l’humanité ; — information — indépendante des intérêts

70 intérêts nationaux ou multinationaux — quant aux besoins véritables des hommes et aux moyens de les satisfaire ; — surveillan

71 emander trois choses : — qu’on ne parle plus de «  besoins  » comme si l’on savait ce que c’est, ou comme s’il s’agissait de proj

72 , Bruxelles, 1979. bb. « La maîtrise sociale des besoins  », Rivista di Studi Politici Internazionali, Florence, vol. 47, n° 2,

73 commissions individuelles : Maîtrise sociale des besoins , Développement rural, Politique de l’emploi et Contrats de solidarité

74 ats de la commission sur “la maîtrise sociale des besoins ” par Denis de Rougemont, et la “Déclaration de Dakar”, déclaration fi

75 maladroitement, il faut le dire, mais à partir de besoins profonds que je pouvais comprendre, de recréer une « commune mesure »

76 t pendant ce temps l’humanité se multiplie et ses besoins en énergie s’accroissent. La situation de notre continent et de l’hum

77 ient en train d’accroître au-delà du possible les besoins matériels et les revendications. Ce conférencier, c’était moi. Certa

78 es à ce sujet. Les hommes d’État qui éprouvent le besoin de solenniser leurs discours invoquent volontiers « Dieu » sous le no

79 s le tissu des préparatifs de guerre. Je n’ai pas besoin de mettre ici les points sur les i, chacun sait que nos industries so

80 rer des industries européennes dont ils ont grand besoin . On ne voit donc pas pourquoi ils anéantiraient la Ruhr ou l’agglomér

81 u’à un point de vue de volonté de puissance ou de besoin de sécurité à tout prix, s’il atteint la liberté spirituelle, il réal

82 a qualifie ou non de « révolutionnaire » pour les besoins de la pub ou de l’intox, présente les mêmes caractères d’ambivalence,

83 s née en vue de la sagesse, ni pour satisfaire un besoin généralement humain. Elle est née, comme tant d’autres, de la guerre,

84 nt d’autres, de la guerre, et pour répondre à des besoins particuliers de l’armement. Et ensuite ? Selon Simon Nora et Alain Mi

85 bles, en vertu d’une croissance exponentielle des besoins , artificiellement provoquée. 5. Plusieurs auteurs86 ont remarqué qu’

86 pas des possibilités de la technologie, mais des besoins existants (contrairement à la phrase citée plus haut de Nora et Mine

87 ères 5, 6 et 7, parce qu’elle n’est pas partie de besoins existants mais de possibilités techniques et commerciales ; parce qu’

88 de la technologie vont beaucoup plus vite que les besoins . 87. Cf. article du Dr Klaus Schrape, « Psychologische Folgen der ne

89 a qualifie ou non de « révolutionnaire » pour les besoins de la « pub » ou de l’« intox », présente les mêmes caractères d’ambi

90 s née en vue de la sagesse, ni pour satisfaire un besoin humain. Elle est née, comme tant d’autres, de la guerre, et pour répo

91 nt d’autres, de la guerre, et pour répondre à des besoins particuliers de l’armement. Et ensuite ? Selon Simon Nora et Alain Mi

92 bles, en vertu d’une croissance exponentielle des besoins , artificiellement provoquée. Plusieurs auteurs75 ont remarqué qu’il s

93 pas des possibilités de la technologie, mais des besoins existants (contrairement à la phrase citée plus haut de Nora et Minc

94 ères 5, 6 et 7, parce qu’elle n’est pas partie de besoins existants mais de possibilités techniques et commerciales, parce qu’e

95 de la technologie vont beaucoup plus vite que les besoins . » 76. Cf. art. du Dr Klaus Schrape : « Psychologische Folgen der ne

96 gage au-dessus des langages répond exactement aux besoins les plus légitimes de notre temps. Il nous rend les vraies formules d

97 qu’on nomme ainsi pour s’en débarrasser. Mais le besoin (anxieux) persiste en moi, bien moins de vérifier l’exactitude matéri

98 a fait erreur sur l’essentiel : sur l’homme, ses besoins et ses fins, qui ne sont pas du tout le profit des États, le prestige