1 ce que l’on peut s’approprier du point de vue des besoins quotidiens. C’est la seule justification d’une barrière, ou d’une lim

2 a communauté est en train de disparaître, mais le besoin « d’être ensemble » demeure vital. La communauté est détruite par tou

3 re des chefs ; la plupart cède tout simplement au besoin de sécurité, c’est-à-dire, pratiquement, d’abandon de leurs droits à

4 lisme égoïste ou sont au contraire motivés par un besoin de responsabilité assumée dans la communauté. Comment se sentir libre

5 actes ? N’allons pas croire pourtant qu’entre le besoin de puissance à tout prix et le besoin de liberté à tous risques, l’hu

6 qu’entre le besoin de puissance à tout prix et le besoin de liberté à tous risques, l’humanité se divise en deux camps bien tr

7 e : « Est-ce que la participation correspond à un besoin réel des citoyens ? » Non ! Elle correspond à une nécessité absolue,

8 é possible. On ne va pas demander à chacun s’il a besoin de participer. C’est une évidence qui saute aux yeux : s’il n’y a pas

9 dre impossible non seulement l’expression mais le besoin même d’une pensée libre, nous en sommes peut-être beaucoup plus proch

10 hes qui le concernent et à les corriger en cas de besoin . Mais la meilleure défense étant l’attaque, dit-on, j’oserai donc ava

11 ir créateur, mais qui puisse enfin satisfaire aux besoins d’expression, d’accomplissement de soi dans la totalité de la personn

12 21.VIII.1949 Mon cher ami ah j’aurais tout à fait besoin du Saint-John Perse avant le 10 septembre. Est-ce trop vous demander 

13 e les totalitaires, eux, proposent une réponse au besoin , à la soif de l’esprit communautaire. C’est une réponse qui ne vaut r

14 passion se nourrit d’obstacles et les suscite au besoin et que l’obstacle suprême étant la mort, c’est dans la mort que les a