1
us sommes pour l’Europe quelque chose dont elle a
besoin
; cette chose unique, irremplaçable : un État qui n’est pas national,
2
es, ne satisfaisait plus depuis bien longtemps au
besoin
de croire de la majorité du peuple. Nous voulons croire à la mission
3
dre apporter une réponse qui satisfasse aux vrais
besoins
du citoyen ou du soldat, ou de l’ouvrier, ou de l’aryen blond. C’est
4
e la pensée abdique sa liberté et se soumette aux
besoins
de l’action, du haut en bas de l’échelle de nos occupations. Tout le
5
nger le sens des mots sept fois par an, selon les
besoins
de la cause. C’est ainsi que tout récemment le ministre d’une grande
6
C’est une sorte d’angoisse diffuse, d’où naît le
besoin
d’un coude à coude où l’individu isolé retrouve des contraintes qui l
7
qui paralysait les intellectuels qui sentaient le
besoin
d’agir sur les destins de la cité, c’était, depuis Hegel, Auguste Com
8
tes dès qu’un homme redevient conscient des vrais
besoins
de sa personne. Il n’y a de loi, répétons-le, que là où l’homme renon
9
nformément à la maxime du Taciturne : « Pas n’est
besoin
d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer. » Or cett
10
r l’effort. Aujourd’hui ou jamais, notre Église a
besoin
d’une rigoureuse critique, d’une critique utile et positive, qui prép
11
iété humaine. Comme toute société humaine, elle a
besoin
de signes extérieurs et de symboles collectifs qui manifestent publiq
12
les répondront tant bien que mal à un désir, à un
besoin
normal, trop longtemps déçu. Mon second argument en faveur de la litu
13
ense pas être le seul de mon espèce, j’éprouve le
besoin
d’entendre répéter chaque dimanche les grandes vérités de la foi, j’é
14
anche les grandes vérités de la foi, j’éprouve le
besoin
de participer, par le chant ou la récitation, à ce témoignage collect
15
-même et au monde que la Suisse. C’est qu’il en a
besoin
plus que nul autre. Sa devise est un paradoxe qu’il n’a pas toujours