1 e. C’est facile d’être négatif. Et je n’avais pas besoin qu’on m’y aide. Pourquoi n’avez-vous jamais eu le courage, vous Franç

2 plus bas ? Ne penserez-vous jamais à ceux qui ont besoin de comprendre le monde ? — J’ai une grande dette de reconnaissance à

3 pour faire croire qu’ils sont forts. Je n’ai pas besoin que vous me désespériez. Je le suis assez moi-même. — Aidez-moi… — Le

4 oir un peu mieux que « les gens » de quoi ils ont besoin et ce qu’ils demandent réellement ? Car les gens ne demandent pas ce

5 crivains de ces années éprouvent simultanément le besoin de s’exprimer par des romans du format standard : 224 ou 600 pages ex

6 t l’homme technicien, on éprouva naturellement le besoin d’une langue plus riche et plus vivante, apte à décrire les passions,

7 nie, tout cela ne fait que donner satisfaction au besoin humain de substituer à la réalité le rêve d’une vie plus « heureuse »

8 au possible, de sorte qu’on achèterait par grand besoin , mais non jamais par gourmandise. » (Il est plaisant de rapprocher Go

9 possession particulière, reprennent le pas sur le besoin de camaraderie, de partage et de vie commune. » On ricanait quand Ber

10 il y a d’humain dans l’attendrissement et dans le besoin de bonté de la charité. — Tout le problème est là : mettre la machine

11 n, subordination du machinisme, perfectionné, aux besoins humains. Toutes ces thèses figurent dans le Cahier de revendications

12 nous avons trahi l’esprit : mais l’esprit n’a pas besoin de nous. Il vit sans nous. Nous le retrouverons intact. C’est le lect

13 Et la majorité des couples n’éprouve plus même le besoin « superstitieux » d’aller se faire bénir par un prêtre.   2. — Contra

14 les échouent, entraînant l’effective abolition du besoin « spirituel », et donc artificiel, de la passion. Alors le cycle de l

15 par un refus constant de subir ses rêves, par un besoin constant d’agir pour l’être aimé, par une constante prise sur le réel

16 l’Europe dure encore — et le reste du monde en a besoin — ne vous contentez pas d’appeler périodiquement l’Amérique à votre s

17 uvernement mondial. Et le monde, pour ce faire, a besoin de l’Europe, j’entends de son esprit critique autant que de son sens