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st momentanément trop chère ; mais surtout que le
besoin
qu’on a de tel objet est satisfait ou a disparu. Il semble alors que
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s le plaisir ou l’intérêt véritable du client. Le
besoin
ayant disparu, la production devant se maintenir, il n’y a qu’une sol
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maintenir, il n’y a qu’une solution : recréer le
besoin
. Pour cela, on abaisse les prix. Le client fait la comparaison. Il es
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candale est qu’il l’ait trompé sur ses véritables
besoins
. Car cela va bien plus profond, cette tromperie-là. Elle peut amener,
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la production s’intensifie, plus il faut créer de
besoins
et de loisirs. Or, l’industrie ne peut subsister qu’en progressant. M
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que nous payons à la terre la satisfaction de nos
besoins
. » — Ford se moque de la philosophie. Il ne peut empêcher que son att
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capricieuse dans le plaisir, la conscience de ses
besoins
et de ses buts propres, humains et divins. Mauvais loisirs. Ford lui
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and chargé de sa filature6. Ah ! comme nous avons
besoin
d’être purifiés d’une odeur de laboratoire dont notre pensée reste im
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leau, car, pour lui, « être poétique, c’est avoir
besoin
d’illusions ». Je soutiendrais volontiers le contraire, mais M. Nizan
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le problème de la création intéresse, l’artiste a
besoin
plus que quiconque de principes définis — je ne dis pas de cadres — q
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a circulation des idées citadines, éprouveront le
besoin
de créer véritablement quelques valeurs nouvelles, il se peut que cer
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ue. Je ne tiens pas du tout à imiter ce Père. Nul
besoin
de citer à la barre d’un jugement dernier anticipé un esprit qui s’ho
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olonté tendue, c’est là ce que nous avons surtout
besoin
qu’on nous montre… Je lui sais gré particulièrement d’éclairer cette
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non du bon côté ; l’âme, que tourmente un suprême
besoin
d’épanchement, s’est déversée, mais elle a mal choisi son confident :
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ssement de notre foi dans l’avenir de la Réforme,
besoin
minoritaire de trouver des alliés à bon compte sur un terrain où la c
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soit « chrétien » ou « païen » ? Nous n’avons pas
besoin
d’avoir raison (contre lui, contre les athées) ; nous n’avons pas bes
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contre lui, contre les athées) ; nous n’avons pas
besoin
d’avoir beaucoup de grands hommes — ni même d’avoir quoi que ce soit
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vraie défense, c’est l’attaque. Nous avons moins
besoin
d’idées justes que d’idées efficacement justes ; moins besoin de noti
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es justes que d’idées efficacement justes ; moins
besoin
de notions « correctes » que de notions dynamiques. Nietzsche réclama
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laît ! ⁂ Retour à l’essai rendu nécessaire par le
besoin
de mettre en ordre l’énorme quantité de faits nouveaux que nous décou
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n et d’engagement concret dont nous avons le plus
besoin
. Cessons de nous réfugier derrière des complexités que nous créons à
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’y croit pas. Mais elle garde chevillé au cœur le
besoin
d’obéir à des forces invisibles et de leur rendre un culte de latrie.
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le primum vivere se trouve être réalisé, et quel
besoin
alors d’un deinde. Que demander aux hommes, sinon qu’ils vivent bien
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l’Évangile et de ses exigences concrètes. Est-il
besoin
de marquer, pour finir, que cette critique de l’esprit bourgeois engl
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u et le Sort, cette idole païenne ? C. M. — J’ai
besoin
de le croire pour agir. L. — Mais qu’est-ce qu’agir ? Est-ce vraimen
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ccupe-t-elle pas, justement, à les découvrir ? Au
besoin
, à les inventer ? C. M. — Certes, mais ma dignité consiste à lutter
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gage au-dessus des langages répond exactement aux
besoins
les plus légitimes de notre temps. Il nous rend les vraies formules d
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et croyais révéler : les ressources limitées, les
besoins
infinis, les centrales nucléaires qui vont arranger cela et qu’on dit
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ssez grand pour que l’opinion générale éprouve le
besoin
de mesures propres à faire le bien. Saint-Just ajoutait : Ce qui pr
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? Puissance ou Liberté, qui tranchera ? Entre le
besoin
de sécurité à tout prix et la soif de liberté à tous risques, le choi