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le continent. Personne n’en parle. On n’a pas eu
besoin
de changer de régime pour le réaliser. Les autostrades américaines ne
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f Monsieur, quel bon vent vous amène ? J’avais
besoin
de me retrouver dans une atmosphère française ; la production littéra
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! L’Amérique veut l’Europe unie, parce qu’elle a
besoin
de nous en tant qu’Européens, autonomes, et même concurrents, non pas
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t qu’esclaves coûteux à entretenir. Et nous avons
besoin
de l’Amérique, en retour ; nous n’avons pas besoin des Russes. Les Am
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esoin de l’Amérique, en retour ; nous n’avons pas
besoin
des Russes. Les Américains seront forcés de nous forcer à l’union ou
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bonne volonté (de Dieu) envers les hommes. Est-il
besoin
de la bombe, et des grèves, et de la famine européenne, et de la guer
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lité de l’ensemble sont en péril. Alors paraît le
besoin
d’union. Les forces de division qui ont miné l’Europe depuis un siècl
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roblèmes culturels. L’Europe du plan économique a
besoin
de centaines de milliers de techniciens. Il est concevable et faisabl
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une Suisse romand qui veut écrire n’aurait-il pas
besoin
, tout simplement, de ce qu’on appelle en France la classe de rhétoriq
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sait il y a quelques siècles) pour répondre à des
besoins
certains et à des nécessités limitées de cette même vie — mais comme
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ieux. L’industrie et l’État, plus que jamais, ont
besoin
d’elle. Si elle est devenue trop petite pour ses tâches immédiates, q
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donc risquée. Là, on s’efforce de « s’adapter aux
besoins
de la société », ici, on chercherait plutôt les moyens d’adapter la s
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de l’usage prévisible et sans tenir compte des «
besoins
de l’économie »), d’autre part pour orienter la société, c’est-à-dire
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village ou dans une ville. Cependant les unes ont
besoin
des autres : une certaine mobilité des chercheurs, enseignants et étu
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outer, c’est la subordination de la recherche aux
besoins
de la société et notamment de son industrie. Car une société, de même
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ent nous-mêmes, mais les Américains aussi, avions
besoin
de cette union, c’est-à-dire du genre de valeurs, d’équilibre, de mes
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et science, hérésie créatrice et saine doctrine,
besoin
de sécurité et goût du risque, conformité qui maintient les valeurs,
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nos jugements moraux, nos réflexes sociaux et nos
besoins
économiques. Tout cela nous incite aussi à remettre en question ces d
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t des deux, probablement. C’est aussi un effet du
besoin
d’imiter ce qui, dans un poème ou une pensée, vient d’éveiller en vou
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par pure envie d’écrire. Et je ne dis pas que ce
besoin
à l’état brut ne continue d’agir dans mes écrits, mais il n’est plus
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eule possible pour les Européens qui éprouvent le
besoin
de s’associer librement par-dessus les frontières, ces « cicatrices d
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e : il suppose chez tous les enfants une sorte de
besoin
inné de s’instruire et de s’entraider. Pour lui, l’homme naît bon, et
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que entre les deux. On ne peut nier que l’homme a
besoin
de compagnie, mais aussi besoin d’être seul ; besoin de communiquer a
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ier que l’homme a besoin de compagnie, mais aussi
besoin
d’être seul ; besoin de communiquer avec ses semblables, mais aussi d
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oin de compagnie, mais aussi besoin d’être seul ;
besoin
de communiquer avec ses semblables, mais aussi de se retrouver face à
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communauté des amish produit tout ce dont elle a
besoin
et refuse le tracteur et l’auto. » 11. « Le sort de l’an 2000 se jou
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ire, la foule s’y jette et le supprime. L’homme a
besoin
de solitude. Mais la plupart n’osant aimer que ce qui par d’autres es
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its commerçants et de riches retraités. Un pays a
besoin
de communications, routes, autobus et téléphone, et de stations d’épu
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ient en train d’accroître au-delà du possible les
besoins
matériels et les revendications 13. Ce conférencier, c’était moi. Cer