1 lecteur d’aujourd’hui soit bien au clair sur ses besoins quand il entre chez son libraire pour acheter « le livre dont on parl

2 la culture, telle qu’elle nous est transmise, aux besoins que l’époque nous crée. Surproduction ou sous-consommation ? C’est bi

3 nous offre des nourritures de luxe, et nous avons besoin de pain de ménage. Elle nous offre des spécialités pharmaceutiques et

4 fre des spécialités pharmaceutiques et nous avons besoin de tonifiants élémentaires, de vitamines naturelles. Laissons là ces

5 era le scandale d’éclater : il libérera, s’il est besoin , de tout scrupule la conscience du capitaliste — auquel personne ne p

6 ue — mais quand un peuple a des prophètes, a-t-il besoin de philosophes ? — est ainsi l’aspect négatif d’une splendeur poétiqu

7 ts. Écrire dès lors n’est pour eux que tromper un besoin d’expression qui n’a plus de mission réelle. C’est un jeu formel et p

8 t l’homme technicien, on éprouva naturellement le besoin d’une langue plus riche et plus vivante, apte à décrire les passions,

9 nds : du déshonneur. 54. Ceci explique, s’il est besoin de l’expliquer, que je puisse tenir balance égale entre les Soviets e

10 cure de petits travaux manuels, quand nous avons besoin d’abord d’un gros œuvre intellectuel. Louis XVI n’a pas sauvé un régi

11 ain de l’action, enfin d’agir. Ils ont sans cesse besoin de se référer à des systèmes de mots ou de critique philosophique, qu

12 sme au cœur du bourgeois. Le matérialisme n’a pas besoin de se dire dialectique pour qu’apparaisse l’ironie qui le tourmente s

13 sera justement humaine que si on la fonde sur les besoins concrets de la personne, alors que la sociologie la fonde sur les seu

14 rnation dans nos limites finies. Nous avons grand besoin d’une cure d’assobrissement. (Et c’est peut-être à ce point de vue pa

15 st pas mauvais d’éprouver parfois ces limites, au besoin d’y faire quelque brèche pour aller béer sur l’absurde, ou sur un de