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Tu veillais ? Dorothée. — Oui, le petit avait
besoin
de moi… Nicolas… pardonne-moi… j’ai vu… Nicolas. — Aide-moi, car
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la tient contre ton corps. Un jour nous en aurons
besoin
. Nicolas. — Dieu le veuille ! Chœur céleste. Dieu l’a voulu,
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ssasié » ? L’abbé. — Tu n’éprouves donc aucun
besoin
du corps ? Nicolas. — D’autres n’éprouvent aucun besoin de l’âme.
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corps ? Nicolas. — D’autres n’éprouvent aucun
besoin
de l’âme. Comment vivent-ils, ceux-là ? Voilà la chose qui m’étonne.
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h ! vous êtes deux bons oiseleurs ! Qu’avons-nous
besoin
de richesses ? Je vous le dis en vérité : la pauvreté fait notre forc
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bertés communales et cantonales. Nous n’avons pas
besoin
d’un État fort, nous n’avons pas besoin de vos grands diplomates. Leu
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avons pas besoin d’un État fort, nous n’avons pas
besoin
de vos grands diplomates. Leur politique nous coûte trop cher, c’est
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, il est trop tard pour avertir. Vous n’avez plus
besoin
de ma morale ! Haimo. — Toi seul peux nous sauver par un conseil