1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
1 t mais on ne peut pas s’y conformer ; pourtant le besoin subsiste de se donner sans réserve, d’aimer dans la totalité de l’êtr
2 l’un d’eux. L’incroyance, même la plus sereine, a besoin du prestige lié au nom de Saint. 41. Bulletin de la Société d’hort
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
3 cédemment. La pensée logique elle-même éprouve le besoin de se mettre sans cesse en échec, non pas en vue d’une abdication, ma
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
4 s : jugement, choix, goût de différer, fantaisie, besoin d’imprévu, sérénité, loisir, maîtrise de soi, individualité et libert
5 ns unique, inimaginable à ce stade, sentons là le besoin de jouer, mais au sens fort du mot, qui est un sens religieux. La civ
6 s. L’histoire des inventions n’est pas celle de «  besoins  » qui auraient existé avant elles. Sa logique n’est pas celle de l’ut
7 i les donne doit les faire accepter et créer leur besoin dans la masse. Sur la base de ces jouets pour grandes personnes72, l’
8 de ses « lois ». Elle prétend « satisfaire » des besoins que personne n’éprouvait du tout. On n’a pas inventé l’auto parce que
9 n’a pas inventé l’auto parce que l’homme en avait besoin , mais c’est l’inverse ! Cependant, l’existence d’innombrables usines,
10 ù vient donc la technique, si ce n’est pas de nos besoins matériels et utilitaires, qui n’entrent en jeu qu’après coup ? Le pro
11 travail, c’est-à-dire de la peine requise par les besoins de sa subsistance ; elle tendait à le libérer pour d’autres tâches, n
12 travail et sa peine, à seule fin d’augmenter ses besoins naturels et de leur en ajouter d’artificiels. Ces erreurs monstrueuse
13 prises sur un phénomène qui évolue au niveau des besoins collectifs : le profit dépend toujours plus de l’économie nationale,
14 évidemment, qu’un certain point de saturation des besoins naturels soit atteint. La technique a multiplié les hommes dont elle
15 e a multiplié les hommes dont elle augmentait les besoins . Il peut sembler que plus on la développe, plus s’éloigne l’espoir de
16 eloppe, plus s’éloigne l’espoir de satisfaire ces besoins qu’elle pousse en avant. L’âne pourra-t-il jamais rejoindre la carott
17 heures de travail par semaine, pour que tous nos besoins « matériels » soient satisfaits (et bien mieux qu’aujourd’hui) : alim
18 couverte de la radioactivité ne répondait à aucun besoin utilitaire, mais en a créé beaucoup, devenus « vitaux ». Etc. 71. Cf
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
19 échéance il est vrai), les moyens de subvenir aux besoins d’énergie d’une humanité qui menace de doubler quantitativement dans
20 jour s’unir la Voie et l’Aventure. 88. Est-il besoin de rappeler ici les œuvres de Spengler et de Toynbee, qui ont tant fa
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
21 gences pratiques », c’est-à-dire concrètement les besoins matériels de l’Orient surpeuplé et sous-alimenté. « On ne parle pas d
22 médier à la famine. Mais il y a plus. Adopter les besoins techniques comme base d’entente entre les deux cultures, c’est impose
23 re atteint par ce qui atteint les corps, dont les besoins ne sauraient être tenus pour primordiaux. Les vérités de l’Orient gar
24 i seraient celles dont nous aurions le plus grand besoin … ⁂ Je vois bien ce qui nous cache encore la pleine réalité de tels p