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va lire datent de 1942 —, je n’ai pas éprouvé le
besoin
de modifier ou de retrancher quoi que ce soit d’important dans mes te
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-saxons, qui paraissent ne point même éprouver le
besoin
de formuler cette mort de Dieu, — comme si pour eux, vraiment, la que
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tit-fils, lui répondit : « Mon petit, je n’ai pas
besoin
, moi, de déranger le bon Dieu pour savoir ce que je dois faire ! » Ce
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de beaucoup de chrétiens actuels : ils n’ont pas
besoin
de Dieu, puisqu’ils ont la morale. Mais cette morale est celle du siè
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de Dieu, c’est justement que je n’éprouve pas le
besoin
de faire de la propagande en sa faveur. On ne fait pas de la propagan
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simplifier tous les problèmes, de juger selon des
besoins
utilitaires plutôt que selon les exigences de la vérité, de penser pa
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à nouveau l’apparence d’un fascisme culturel : le
besoin
de chefs, la violence de la guerre transportée dans le domaine de l’e
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d’aventures spirituelles (chez les meilleurs), un
besoin
de direction ferme et de réalisations expéditives d’allures totalitai
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es individus sont abstraitement dirigés selon les
besoins
de la machine et non selon leur vocation réelle. Elle condamnera le s
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rte de cynisme facilement explicable ; un profond
besoin
de réalisme mais trop peu d’informations sur l’état du monde pour le
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ne savons rien du reste de sa vie, et n’avons nul
besoin
d’en rien connaître pour reconnaître la portée de son message puisque
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ais pu seulement imaginer, ce qui ne répond à nul
besoin
historiquement déterminé… L’histoire, au sens hégélien ou tainien, ou
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Et de même que cette révolte, et ce destin, et ce
besoin
de voir, sont symbolisés au concret par les statues des idoles étrang
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ue — mais quand un peuple a des prophètes, a-t-il
besoin
de philosophes ? — est ainsi l’aspect négatif d’une splendeur poétiqu
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e changer, lorsque l’expérience fait connaître le
besoin
d’en corriger les défauts. Ainsi, comme nous ne doutons point que ce
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n général ? Il est clair que la théologie n’a pas
besoin
de la littérature et peut s’en désintéresser sans grand dommage. Si l
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e, plutôt que de rigueur théologique ? Au nom des
besoins
de la paroisse de campagne, trop souvent prise comme prétexte chez le
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rrait donc s’en passer, qu’il n’en a vraiment nul
besoin
, puisqu’on appelle utile ce dont on a besoin ; et qu’il ne croit devo
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nul besoin, puisqu’on appelle utile ce dont on a
besoin
; et qu’il ne croit devoir le respecter qu’en vertu d’une espèce de p
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r l’art, pour lui faire de la publicité. C’est le
besoin
de l’art qu’il faudrait réveiller. Et pour cela, il faudrait endormir
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réveiller. Et pour cela, il faudrait endormir les
besoins
différents qui l’étouffent. Donc modifier toute l’attitude, l’orienta
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endu, ce que l’artiste arrive à signifier n’a nul
besoin
d’être connu par lui préalablement à l’œuvre. Il n’y a pas d’abord un
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naïveté. Je mets en fait qu’un homme saisi par le
besoin
de s’exprimer, ou d’exprimer quelque chose au moyen d’une œuvre d’art
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. C’est que la romance, comme la vraie passion, a
besoin
pour s’enflammer d’être combattue, empêchée, et dans une certaine mes
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d’opprimer les ouvriers. Ni d’appeler justice, au
besoin
, ce qui était utile aux maîtres. La religion ne semblait plus gêner p
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lle-même sans vergogne, tout en le niant pour les
besoins
de sa cause. Ce matérialisme vulgaire, que Marx avait tout d’abord co
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milieux et la nature des institutions. (Ainsi le
besoin
prétendu « primordial » de propriété, peut très bien être anéanti che
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11. La baleine qui avait faimbk Pourquoi le
besoin
de chercher est-il si vital dans les monde occidental ? Concernant la
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sont hommes et non pas simples animaux, c’est le
besoin
profond de dépasser leur condition présente, leurs données natives ou
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gage au-dessus des langages répond exactement aux
besoins
les plus légitimes de notre temps. Il nous rend les vraies formules d
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pas superflus ? L’inquiétude qui entretient leur
besoin
ne sera-t-elle pas apaisée ? Le salut, le pardon, la grâce et la priè
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ude religieuse dépende de l’insatisfaction de nos
besoins
matériels, sociaux et psychologiques ? Faut-il prévoir par suite que
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dans l’hypothèse où le progrès réussirait, où nos
besoins
terrestres se tiendraient pour comblés, ce n’est pas seulement cette
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pable d’être satisfait et de bien vivre quand ses
besoins
physiques sont seuls comblés. (Sinon, les occupants de nos prisons mo
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tion scientifique de la vie n’élimineront pas les
besoins
religieux de l’immense majorité des hommes ; si nous admettons au sur
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oque mondiale, et dont il faudra s’occuper… 3. Le
besoin
d’une langue unique capable de traduire le langage universel de Jésus