1 1970, Lettre ouverte aux Européens. Lettre ouverte
1 ’ils l’entendent ? Faute d’oser avouer qu’ils ont besoin de la guerre, ils la présentent comme une réalité inéluctable, et, po
2 talie fasciste5. Cette Internationale qui n’a pas besoin du nom se proclame à la fois anticapitaliste, antifasciste et anticom
2 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
3 nt il faut croire, au moins, qu’elle est là comme besoin d’exister dans les meilleurs esprits de tous ces siècles. Limites ?
4 ommes tous des Européens. Vus d’Asie, je n’ai pas besoin d’insister, on nous prend même parfois pour des Américains ! De toute
5 nos jugements moraux, nos réflexes sociaux et nos besoins « réels », économiques, sexuels et religieux. Tout cela nous incite a
6 sait pour lui quel est son bien, et lui prouve au besoin qu’il le sait mieux que lui. L’idée de varier, de différer ou d’innov
7 de nos vies quotidiennes, d’autres exemples : le besoin d’originalité et l’humour. Il y a dans notre goût de l’originalité de
8 deux composantes : l’esprit de concurrence et le besoin d’exprimer son « vrai moi ». À partir d’un certain niveau de culture,
9 éatrice et saine orthodoxie ; – goût du risque et besoin de sécurité. La seconde est formée d’antithèses aux deux termes égale
10 à son tour formera des traditions civiques et le besoin d’en changer. Il s’agit donc d’éveiller chez les jeunes le désir d’ha
11 vraies dimensions et leur urgence — et alors nul besoin d’insister sur la nécessité de faire l’Europe — à l’étude des réalité
12 uestions réelles éveillant le sens critique et le besoin d’invention, tandis que l’autre, que j’ai sous les yeux, n’est qu’un
13 vers un doctorat en sciences19. Ce sont ainsi les besoins du Plan, c’est-à-dire les besoins de la collectivité interprétés par
14 sont ainsi les besoins du Plan, c’est-à-dire les besoins de la collectivité interprétés par le Parti et son État, qui détermin
15 gime. La colombe européenne, elle, sait qu’elle a besoin pour voler d’une certaine résistance de l’air, et elle n’a pas reçu d
3 1970, Lettre ouverte aux Européens. II. L’union fédérale
16 es constitués à la mesure des possibilités et des besoins de l’ère scientifico-technique. Cet échec de la politique centralisat
17 litique, tout le problème revient à concilier les besoins contraires mais vitaux d’autonomie locale et de grands espaces commun
4 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
18 du nationalisme et de l’État totalitaire — par le besoin d’union au-delà des nations, partout ressenti et déclaré, et qui a do
19 souhaits des organisateurs, qui connaissaient les besoins de leur région, mais de tout un mouvement de pensée politique, déjà b
20 ples permettant de satisfaire alternativement les besoins contradictoires mais également valables d’enracinement et de nomadism
21 on à l’échelle de l’Europe des producteurs et des besoins régionaux. 2. Tisser des relations interrégionales de plus en plus se
22 nal progressivement tombé en désuétude. 7. Est-il besoin de préciser qu’il ne s’agit nullement d’étapes chronologiques, mais d