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de Montherlant (10 juillet 1926)h Je ferme les
Bestiaires
, et me tirant hors de ce « long songe de violence et de volupté », je
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e plaine. De tels passages qui abondent dans les
Bestiaires
font pardonner bien d’autres pages de vrais délires taurologiques. Qu
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nnons ? » ⁂ Il est impossible de ne voir dans les
Bestiaires
qu’une évocation de l’Espagne et du génie taurin. Ce qui perce à chaq
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is de, « [Compte rendu] Henry de Montherlant, Les
Bestiaires
», La Semaine littéraire, Genève, 10 juillet 1926, p. 335.