1 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
1 t tous les repas sont pris dans la petite cuisine blanche , parfois ornée d’un bar, toujours d’un frigidaire. Mais alors le mari
2 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
2 ement mon hôtel. Un plancher bleu foncé, des murs blancs , un plafond vitré. Deux larges et basses fenêtres sur la cour. En fac
3 nt le bord de la table — devant un bloc de papier blanc . Des heures ont passé, immobiles. Le téléphone a sonné plusieurs fois
4 est, 52 th Street Emménagé dans une belle chambre blanche , vaste et carrée. Je me sens rendu au monde et à la vie courante. Mai
5 parce que leurs élégances restent cousues de fil blanc . On y est fort sensible à Paris. Cependant nous vivons au xxe siècle
3 1947, Articles divers (1946-1948). Einstein, patriarche de l’âge atomique, m’a dit : « C’est pour dissimuler sa pauvreté et sa faiblesse que l’URSS méfiante, s’entoure de secret… » (9 août 1947)
6 s de profondes ravines et deux touffes de cheveux blancs en auréole. À le voir de tout près, je le trouve plutôt petit, massif
4 1947, Articles divers (1946-1948). La lutte des classes (1947)
7 vêtu d’un sévère uniforme au col bordé de perles blanches mordant sur l’encolure bien rasée entrait, claquait la porte étroite,
5 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
8 au dernier étage, dans un petit bureau étroit et blanc comme une cellule de moine, tout embrumé par la fumée des pipes, que
9 s de profondes ravines et deux touffes de cheveux blancs en auréole. Il me fit asseoir près de lui dans un fauteuil de jardin,
6 1948, Articles divers (1946-1948). Notes sur la voie clandestine (hiver 1948)
10 s l’échelle ni le chat noir à gauche, les chevaux blancs ni les curés barbus. Il n’attend rien qui ressemble aux dictons de l’