1 mortes, mornes et ronchonneurs, à la lisière d’un bois . J’essaie de les réconforter. Silence, réprobation muette. Je prends

2 ces, d’heures de paresse, voire même de gueule de bois — et d’accès d’enthousiasme pathétiques ! Nous passions des soirées e

3 n livre son vrai combat. 21 mai 1939 Promenade au Bois avec V. O. que j’ai été prendre chez Adrienne Monnier — où elle s’éta

4 et le confort auvents immenses, et des balcons de bois ornés de pieuses devises et de géraniums éclatants. Tout paraissait,