1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
1 rajeuni, ces gestes rudimentaires, cette odeur de bois fraîchement coupé que dégagent certaines œuvres récentes des écrivain
2 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
2 mme par exemple une maison trop grande, un feu de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une cheminée qui tire mal. J’aime
3 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
3 quelques seaux. Puis vous partez écrire dans les bois , et moi taper à la machine. À déjeuner, vous me dites que Clarence av
4 cit de Brett : « Puis vous partez écrire dans les bois . » On allait oublier l’écrivain. Il est là, adossé à un pin, avec sa
4 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
5 bordée de rosiers. L’allée aboutit à une porte de bois à deux battants, à demi cachée par des lauriers épais. De hauts murs
6 aisant que cet intérieur. Des chaises au siège de bois poli, une lourde table au centre, une autre plus petite vers la fenêt
7 mbuscade du destin, comme qui dirait au coin d’un bois . Je crois que le réel est à portée de la main, et n’est que là. Alors