1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 bordée de rosiers. L’allée aboutit à une porte de bois à deux battants, à demi cachée par des lauriers épais. De hauts murs
2 néral tout est plus cher qu’à Paris). Un stère de bois , 50 francs ; (il y a très peu d’arbres sur l’île, on fait venir le bo
3 y a très peu d’arbres sur l’île, on fait venir le bois de chauffage du continent). Éclairage au pétrole, 30 francs. Bons de
4 aisant que cet intérieur. Des chaises au siège de bois poli, une lourde table au centre, une autre plus petite vers la fenêt
5 yclette, de la Grande-Conche, à l’ouest, jusqu’au bois de pins à l’est et au Fier, qui termine les marais, nous découvrons q
6 mbuscade du destin, comme qui dirait au coin d’un bois . Je crois que le réel est à portée de la main, et n’est que là. Alors
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
7 e franc sacré, les idées à majuscules, toucher du bois , la bouteille de champagne brisée contre la coque des bateaux neufs,
8 autre mas dit « le Château ». C’est à l’orée d’un bois de châtaigniers. On y accède par une rampe monumentale coupée réguliè