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bordée de rosiers. L’allée aboutit à une porte de
bois
à deux battants, à demi cachée par des lauriers épais. De hauts murs
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néral tout est plus cher qu’à Paris). Un stère de
bois
, 50 francs ; (il y a très peu d’arbres sur l’île, on fait venir le bo
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y a très peu d’arbres sur l’île, on fait venir le
bois
de chauffage du continent). Éclairage au pétrole, 30 francs. Bons de
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aisant que cet intérieur. Des chaises au siège de
bois
poli, une lourde table au centre, une autre plus petite vers la fenêt
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yclette, de la Grande-Conche, à l’ouest, jusqu’au
bois
de pins à l’est et au Fier, qui termine les marais, nous découvrons q
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mbuscade du destin, comme qui dirait au coin d’un
bois
. Je crois que le réel est à portée de la main, et n’est que là. Alors