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C’est là qu’on entre. Murs nus. Un catafalque de
bois
, au milieu, recouvert d’un très beau tapis mince, ou bannière, avec d
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; le ciel paraissait plus grand que la terre. Des
bois
de pins s’approchaient, s’écartaient, livrant passage à la chaussée i
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ui luisaient, faiblement, vers le cœur profond du
bois
. Et je croyais m’enfoncer et me perdre dans le silence d’une mémoire
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usure des nerfs. Lampe vide, la mèche se consume.
Bois
du lait, perds du temps, bats les lisières du sommeil. Ou bien descen
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ux. Premier bruit de pas dans la rue. Semelles de
bois
. Une femme de ménage sort ses clés, ouvre une porte de service à côté
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ule maintenant dans l’ombre tiède et abritée d’un
bois
de pins. Que vient-il donc chercher sur ces rivages désertés par le c