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plus puissantes et beaucoup plus maniables que la
bombe
H, mais aussi à des procédés de manipulation du psychisme collectif e
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s deux partis extrêmes de l’Occident, armés de la
Bombe
. À ces motifs d’union, spirituels d’une part, historiques ou conjonct
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le, qui fut une guerre motorisée, est posé par la
bombe
d’Hiroshima, début d’une ère de fantastique accélération des sciences
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ant à des destructions toujours plus étendues. La
bombe
A, puis la bombe H, n’ont certes pas amené le désarmement, ni même ra
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tions toujours plus étendues. La bombe A, puis la
bombe
H, n’ont certes pas amené le désarmement, ni même ralenti la producti
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d’une vingtaine d’années. L’immense utilité de la
bombe
H, c’est en somme qu’elle n’est pas utilisable. Elle se trouve interd
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prodigieuse réussite technique que représente la
bombe
H sert la paix en ceci qu’elle a suscité un sentiment encore plus vio
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ues semaines ? Avec des bâtons, des couteaux. Les
bombes
atomiques ne seraient guère utilisables de nation à nation, en Europe
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le drame, et la menace plus grave que celle de la
bombe
H. Ainsi le contact avec l’Occident non seulement persuade le tiers-m
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mais après-demain, si une grande nation ayant la
bombe
les regroupe et se met à leur tête. Que peut faire l’Occident, pour é
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au Pentagone ou au Kremlin, voire à l’Élysée, la
bombe
nous anéantira… Ces questions sont très populaires, non seulement dan
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ec une urgence plus dramatique, dans le cas de la
Bombe
par exemple (mais aussi des techniques chimiques et biologiques) à no