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terrorisme, des prises d’otages, du chantage à la
bombe
, naguère privilèges des seuls États ; la montée parallèle d’une sorte
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dans le vent, pleines d’allusions sinistres à la
bombe
H qui, paraît-il, ne permet plus de peindre un beau paysage ni les ye
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tait pilote de chasse et qu’il faisait tomber des
bombes
sur les villes, il était libre, considéré, décoré même. Depuis qu’il
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l’on ne peut pas réduire la masse critique d’une
bombe
H, ne faut-il pas réduire la taille de ceux qui seraient tentés de s’
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u alors, s’ils avaient commencé là-bas avec leurs
bombes
atomiques, il n’y aurait même plus eu de place pour les soldats améri
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nt de la société industrielle qui culmine dans la
Bombe
à fusion nucléaire, je dis que nous ferions une autre société — et je
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itement du métal infernal qui permet de faire des
bombes
, augmente chaque jour les chances de la guerre atomique, c’est-à-dire
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et avec le plutonium, qu’est-ce qu’on fait ? Des
bombes
et rien d’autre. Donc, si on vend des centrales de retraitement du pl
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e pour les mettre en possibilité de fabriquer des
bombes
et de s’en servir ; personne ne peut éternellement faire des bombes p
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servir ; personne ne peut éternellement faire des
bombes
pour ne pas s’en servir. Ça, c’est une farce que les ministres de tou
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guerre est impossible, qu’on n’utilisera pas les
bombes
atomiques… Je répondrai ceci : la France et l’Allemagne vendent des c
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ses, mais tout le monde sait qu’on peut faire une
bombe
avec cinq à six kilos de plutonium. Ce qui permettra à n’importe quel