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ans plus tard, sur la base de cette équation, une
bombe
nouvelle tuerait en une seconde plus de cent-vingt-mille Japonais ? I
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a jusqu’à l’excès — devenu courant — d’opposer la
bombe
H à l’idée du progrès, voire à la recherche scientifique en général :
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cette angoisse devant l’ère des machines et de la
Bombe
n’en est pas moins révélatrice de notre condition occidentale. Il s’a
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et de mille chroniqueurs, épouvantés enfin par la
Bombe
H, prennent du « progrès technique » une vue lugubre. Nous avons assi
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hnique personnifiée et sur ses produits, comme la
Bombe
, dès lors douée d’une sorte d’intrinsèque capacité de nuire à l’homme
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es « antimodernes » que j’ai dits. Erreur sur la
Bombe
. J’écrivais au lendemain d’Hiroshima : « La Bombe n’est pas dangereus
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Bombe. J’écrivais au lendemain d’Hiroshima : « La
Bombe
n’est pas dangereuse du tout. C’est un objet. Ce qui est horriblement
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dangereux, c’est l’homme. C’est lui qui a fait la
Bombe
et qui se prépare à l’employer. Le contrôle de la Bombe est une absur
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et qui se prépare à l’employer. Le contrôle de la
Bombe
est une absurdité. On nomme des Comités pour la retenir ! C’est comme
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’aller casser les vases de Chine. Si on laisse la
Bombe
tranquille, elle ne fera rien, c’est clair. Elle se tiendra coite dan
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découvertes géniales d’Einstein aboutissent à la
Bombe
atomique. Malédiction sur l’invention ! Mais que veut-on dire ? Imagi
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n par libre choix, mais parce qu’ils possèdent la
Bombe
H. Chacun d’eux se trouve devant l’autre dans la position qu’on nomme
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oi, elle est là pour payer — et l’on sait que les
bombes
H coûtent plus cher que nos divisions réunies — mais alors c’en sera
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poser à ces remises au pas. Il n’y aurait que les
bombes
H américaines. Or il est clair que ces bombes H ne seront jamais util
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les bombes H américaines. Or il est clair que ces
bombes
H ne seront jamais utilisées si les Russes interviennent chez les « n
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la moindre erreur de calcul peut faire éclater la
bombe
H. A. — Tout cela vous mène irrésistiblement à concevoir un régime do
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bé par un problème d’échecs, pour lui annoncer la
bombe
d’Hiroshima, il me dit tranquillement : « Qu’est-ce que cela prouve ?
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rt presque simultané de la course aux fusées, aux
bombes
et aux satellites. Reste « le degré de prospérité et de bonheur des p
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dans un problème d’échecs, pour remarquer que la
bombe
confirmait son point de vue : la science n’est qu’une mythologie, ses
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nventions d’un jeu quelconque. — N’empêche que la
bombe
a éclaté au moment prévu ! remarqua le docteur. — La belle preuve, ré
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mperceptibles, ou désintégrations microscopiques.
Bombe
atomique de poche et à retardement, à craindre de près pendant presqu