1 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
1 ans plus tard, sur la base de cette équation, une bombe nouvelle tuerait en une seconde plus de cent-vingt-mille Japonais ? I
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
2 a jusqu’à l’excès — devenu courant — d’opposer la bombe H à l’idée du progrès, voire à la recherche scientifique en général :
3 cette angoisse devant l’ère des machines et de la Bombe n’en est pas moins révélatrice de notre condition occidentale. Il s’a
4 et de mille chroniqueurs, épouvantés enfin par la Bombe H, prennent du « progrès technique » une vue lugubre. Nous avons assi
5 hnique personnifiée et sur ses produits, comme la Bombe , dès lors douée d’une sorte d’intrinsèque capacité de nuire à l’homme
6 es « antimodernes » que j’ai dits. Erreur sur la Bombe . J’écrivais au lendemain d’Hiroshima : « La Bombe n’est pas dangereus
7 Bombe. J’écrivais au lendemain d’Hiroshima : « La Bombe n’est pas dangereuse du tout. C’est un objet. Ce qui est horriblement
8 dangereux, c’est l’homme. C’est lui qui a fait la Bombe et qui se prépare à l’employer. Le contrôle de la Bombe est une absur
9 et qui se prépare à l’employer. Le contrôle de la Bombe est une absurdité. On nomme des Comités pour la retenir ! C’est comme
10 ’aller casser les vases de Chine. Si on laisse la Bombe tranquille, elle ne fera rien, c’est clair. Elle se tiendra coite dan
11 découvertes géniales d’Einstein aboutissent à la Bombe atomique. Malédiction sur l’invention ! Mais que veut-on dire ? Imagi
3 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
12 n par libre choix, mais parce qu’ils possèdent la Bombe H. Chacun d’eux se trouve devant l’autre dans la position qu’on nomme
4 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
13 oi, elle est là pour payer — et l’on sait que les bombes H coûtent plus cher que nos divisions réunies — mais alors c’en sera
14 poser à ces remises au pas. Il n’y aurait que les bombes H américaines. Or il est clair que ces bombes H ne seront jamais util
15 les bombes H américaines. Or il est clair que ces bombes H ne seront jamais utilisées si les Russes interviennent chez les « n
5 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le crépuscule d’un régime (octobre 1957)
16 la moindre erreur de calcul peut faire éclater la bombe H. A. — Tout cela vous mène irrésistiblement à concevoir un régime do
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la pluralité des satellites (II) (décembre 1957)
17 bé par un problème d’échecs, pour lui annoncer la bombe d’Hiroshima, il me dit tranquillement : « Qu’est-ce que cela prouve ?
7 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur un chassé-croisé d’idéaux et de faits (novembre 1959)
18 rt presque simultané de la course aux fusées, aux bombes et aux satellites. Reste « le degré de prospérité et de bonheur des p
8 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
19 dans un problème d’échecs, pour remarquer que la bombe confirmait son point de vue : la science n’est qu’une mythologie, ses
20 nventions d’un jeu quelconque. — N’empêche que la bombe a éclaté au moment prévu ! remarqua le docteur. — La belle preuve, ré
21 mperceptibles, ou désintégrations microscopiques. Bombe atomique de poche et à retardement, à craindre de près pendant presqu