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a jusqu’à l’excès — devenu courant — d’opposer la
Bombe
H à l’idée du progrès, voire à la recherche scientifique en général :
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cette angoisse devant l’ère des machines et de la
Bombe
n’en est pas moins révélatrice de notre condition occidentale. Il s’a
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et de mille chroniqueurs, épouvantés enfin par la
Bombe
H, prennent du « progrès technique » une vue lugubre. Nous avons assi
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hnique personnifiée et sur ses produits, comme la
Bombe
, dès lors douée d’une sorte d’intrinsèque capacité de nuire à l’homme
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es « antimodernes » que j’ai dits. Erreur sur la
Bombe
. J’écrivais au lendemain d’Hiroshima : « La Bombe n’est pas dangereus
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Bombe. J’écrivais au lendemain d’Hiroshima : « La
Bombe
n’est pas dangereuse du tout. C’est un objet. Ce qui est horriblement
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dangereux, c’est l’homme. C’est lui qui a fait la
Bombe
et qui se prépare à l’employer. Le contrôle de la Bombe est une absur
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et qui se prépare à l’employer. Le contrôle de la
Bombe
est une absurdité. On nomme des Comités pour la retenir ! C’est comme
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’aller casser les vases de Chine. Si on laisse la
Bombe
tranquille, elle ne fera rien, c’est clair. Elle se tiendra coite dan
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découvertes géniales d’Einstein aboutissent à la
Bombe
atomique. Malédiction sur l’invention ! Mais que veut-on dire ? Imagi