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es cinquièmes colonnes et l’Amérique numérote ses
bombes
. Ainsi l’urgence s’ajoute à la nécessité. J’essaierai maintenant de r
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ens surtout qui viennent de fabriquer la première
Bombe
, parce qu’ils étaient ensemble… en Amérique. Mais ici, chacun se plai
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quoi je parle et que ce n’est pas seulement de la
Bombe
. Jamais les hommes, et particulièrement les créateurs, ne s’étaient s
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Pentagone, ou au Kremlin, ou même à l’Élysée, la
bombe
nous anéantira. Ces questions sont très populaires, non seulement dan
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et de ce pessimisme général que l’invention de la
bombe
A puis de la bombe H risquent de transformer en panique planétaire ?
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général que l’invention de la bombe A puis de la
bombe
H risquent de transformer en panique planétaire ? Si on laisse la bom
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ansformer en panique planétaire ? Si on laisse la
bombe
tranquille, elle ne fera rien du tout, c’est un objet. Il n’est pas d
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is de votre seule curiosité. Qu’il s’agisse de la
bombe
effrayante, ou du téléphone agaçant, ce sont nos passions, nos manies
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es semaines ? Avec des bâtons, des couteaux ? Les
bombes
atomiques ne seraient guère utilisables de nation à nation, en Europe
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e drame, et la menace, plus grave que celle de la
bombe
H. Le contact avec l’Occident non seulement persuade le tiers-monde d
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mais après-demain, si une grande nation ayant la
bombe
les regroupe et se met à leur tête. Que peut faire l’Occident, pour é
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ec une urgence plus dramatique (dans le cas de la
Bombe
par exemple, mais aussi des techniques chimiques et biologiques)26 à
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proches amers, d’insultes vaines et finalement de
bombes
atomiques. Le Dialogue des cultures doit servir, soyons francs, les i