1 le. C’est, dit-il, que sa consigne est de « tenir bon en souffrant ». Le presbytère de campagne serait une solution commode

2 s. On ne saurait en dire autant du langage de nos bons écrivains. Car non seulement il est mal entendu par la grande masse d

3 nt leur force et leur délicatesse d’appel. Et les bons écrivains, qui n’ont pas d’autres armes, se voient privés de tous moy

4 vacances à la mer ! C’est avec ça qu’on fait les bons fascistes, les bons nazis, les vertueux komsomols, les petits bourgeo

5 C’est avec ça qu’on fait les bons fascistes, les bons nazis, les vertueux komsomols, les petits bourgeois disciplinés. C’es

6 Aucun ouvrage ne se passe mieux de préface qu’un bon roman. Pourtant la réussite de Max Brod n’est pas seulement de l’ordr

7 culté dichotomique. La science nous en donnera un bon exemple. En tant qu’activité, elle peut se définir par l’invention de

8 vision banale de la vie quotidienne. Il est très bon que le romancier et ses romans agissent, de cette manière intime et s

9 ianne, il reprochait tout récemment à l’un de nos bons écrivains, M. Arnoux, de n’avoir pas su s’imposer « avec assez de for

10 gesse sentencieuse et imagée. Étonnamment active. Bonne protestante et qui tient à le dire. Sa cordialité demeure digne, trai

11  ! Il ne faut pas croire que la viande soit un si bon remède comme on le dit. Je lui ai fait du poulet, elle n’y avait pas

12 e. Voyez ! Ce n’est pas vrai que la viande est si bonne pour les malades. » Elle accepte de venir faire une lessive à la mais

13 utilisables dans la mesure où ils veulent être de bons écrivains français.) — Que de bonne volonté chez les hommes de ce Cer

14 mides, camarades, malicieux et indulgents — leurs bons rires quand l’un ou l’autre dit une bêtise ou bafouille — et comme on

15 Je n’ai aucune envie d’aller faire l’intrus ou le bon apôtre. Si c’était possible, ce serait épatant, je ne dis pas. Mais p

16 pour travailler à la ville. C’est comme partout. Bon . Alors les catholiques descendent de la montagne et viennent prendre

17 eux gâteux l’arrête sur le seuil. « Et alors, mon bon , c’est toi qu’on va mettre à la mairie ? » L’homme au visage maigre f

18 s gros qui pressent les petits ! — Les gros ! mon bon . Mais c’est donc vous, qui nous pressez toute notre argent, depuis qu

19 e où nagent de grandes vérités brutales, toujours bonnes à dire, mais mal dites. J’accepte à la rigueur cette division du mond

20 our Taillefer. Nous sommes attablés ici depuis un bon moment déjà, tout contents de revoir le va-et-vient d’un lieu public,

21 lement pour gagner sa chienne de vie, et c’est le bon moyen de traîner la misère la plus honteuse qui se puisse imaginer, d

22 cerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon , agréable et parfait. Dans les deux cas, il s’agit du même mot : tra

23 et de sa classe. Ainsi Staline peut justifier en bonne doctrine « dialectique » ses négations actuelles du but final de Marx

24 les. Imaginez maintenant qu’un vrai chrétien juge bon de s’inscrire au parti communiste ou de militer en sa faveur : l’alte

25 essaire ? » L’homme qui a une vocation n’est pas bon à autre chose. Israël portait dans son sein l’avenir religieux du mon

26 du tout le monopole : tout catholique se doit, en bonne logique, de les faire siens, puisqu’il croit au mérite des œuvres ; e

27 n la possibilité de vivre et de créer sa vérité — bonne ou mauvaise — contre les fous totalitaires de droite ou de gauche, le

28 sa femme aussi, prétextant sa jambe « coupée ». ( Bonne occasion pourtant de la décrocher un peu pour toucher davantage à l’a

29  Paris-Soir », « on se défend… » La grosse petite bonne qui tire sa robe à fleurs sur le quai désert du métro, enfin un être