1 1961, Arts, articles (1952-1965). L’Amour en cause (1er février 1961)
1 line contre l’incontinence : « Je pense qu’il est bon pour l’homme de ne point toucher sa femme. Toutefois, pour éviter l’i
2 un instant, par simple hypothèse de dialogue, les bonnes raisons que peut invoquer l’autre. J’entends bien que la littérature
2 1961, Arts, articles (1952-1965). Les quatre amours (9 mai 1961)
3 nte pour l’esprit. Mais elle n’est ni mauvaise ni bonne  : en tant que fonction, je la verrais moralement neutre. Et cependant
4 qui est vrai, ce qui est beau, c’est ce qui m’est bon . » Carreau La forme indique le nombre 4. Elle suggère : défin
3 1962, Arts, articles (1952-1965). Sartre contre l’Europe (17 janvier 1962)
5 l’histoire de l’homme », et nous serons ainsi du bon côté. Je n’invente pas : je cite et je condense cette dialectique hum
4 1962, Arts, articles (1952-1965). Le miracle européen a créé le monde civilisé (6 juin 1962)
6 forcer le verrou de l’islam ? Comment apporter la Bonne Nouvelle aux peuplades païennes de l’Asie et de l’Afrique ? Comment é
5 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe détient les secrets de l’avenir, mais a-t-elle la volonté de vivre ? (13 juin 1962)
7 ui porter le coup de grâce. Bien au contraire. Le bon usage et la santé de l’économie technicienne, selon ses meilleurs spé
6 1962, Arts, articles (1952-1965). Le monde entier irrite l’Europe et la méprise autant qu’il la jalouse ! (20 juin 1962)
8 ces et la technique, mais aussi leur intégration, bon an mal an, dans le complexe de nos coutumes et de nos équilibres huma
9 in et le philistinisme culturel. C’est une assez bonne liste de nos vices, tels qu’ils se sont manifestés, du moins à partir
7 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe est un colosse qui s’ignore (encore) (27 juin 1962)
10 qu’une division de nos forces — et nous sommes en bon train de les unir — mais non pas une absence de forces potentielle. E
8 1965, Arts, articles (1952-1965). Le déferlement de l’érotisme : pour une nouvelle théologie (5-11 mai 1965)
11 mple et rapide ; et surtout une affaire gratuite, bonne pour ceux qui ont rempli leur rôle physiologique. Mais voilà, l’impor