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voyage en Europe : des Balkaniques, inefficaces,
bons
cuisiniers, affreusement compliqués et susceptibles, esquivant les ré
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ui sont à l’œuvre dans tous nos pays, qui font du
bon
travail, mais qui en feraient du meilleur si on leur en accordait les
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d’articles de revues, Europa Features, a placé de
bons
articles, mais le marché des revues existantes s’est révélé trop limi
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refus de coopérer, sont dus à des malentendus. Un
bon
service de public relations — qui nous manque encore — pourrait y rem
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en souvent parlé d’un « centre décentralisé ». En
bonne
doctrine fédéraliste, il serait plus exact de dire que le CEC veut êt
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eloppement du langage musical. 5. Qu’est-ce qu’un
bon
programme ? i. « Une nouvelle initiative du CEC : Conférence de co
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é de puissance et encore moins la recherche d’une
bonne
administration, d’une coopération internationale nécessaire, ou de l’
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s pays passait un papier sur l’Europe, c’était un
bon
succès, nos bulletins le soulignaient. Mais ouvrez un journal aujourd
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e maudire l’obscurité », dit un proverbe chinois,
bonne
devise pour ces temps. l. « Situation de l’Europe en juin 1953 »,
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agne » s’évanouit dès que l’on songe aux joies du
bon
voisinage avec l’alliée naturelle des steppes. Il y a là, pour parler
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ui qui cherche une place, s’il en trouve une très
bonne
, il cessera de mettre des annonces dans le journal. La recherche dont
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ue étrangère qu’apprenaient les enfants russes de
bonne
famille. Le plus grand poète du pays avouait que le français lui étai
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a sagesse prédomine, et avec elle la froideur des
bons
élèves. » ⁂ L’opéra célèbre du compositeur américain Gershwin, Porgy
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crive au bas d’une rédaction qu’il veut louer : «
Bon
travail, idées originales et style personnel. » Enfin, un troisième c
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ucation méritant d’être nommée européenne. Sera «
bon
Européen » l’homme qui aura su réaliser cet équilibre, et bon éducate
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» l’homme qui aura su réaliser cet équilibre, et
bon
éducateur, celui qui ne cessera d’y tendre. Deux extrêmes, et comm
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etin ? À l’approche du temps des vacances, il est
bon
de se retourner vers les mois de travail qu’on vient de vivre. Ce n’e
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ement tous nos peuples, sans distinguer entre les
bons
et les méchants, les neutres ou les « agresseurs ». Il dépend du seul
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Franco (voir p. 36 et 37) méritent de figurer en
bonne
place dans les débats de notre Association. Elles tendent toutes les
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lle des débats soulevés périodiquement depuis une
bonne
dizaine d’années, et récemment renouvelés, autour de l’idée d’une Uni
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us inquiète depuis le début du siècle beaucoup de
bons
esprits. On ne cesse de nous répéter depuis Sorel et Spengler que l’O
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mais pourra-t-on la faire sans eux ? Car c’est en
bonne
partie par leur moyen qu’on l’a défaite : le Livre et le Manuel, auta
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e auteurs et distributeurs, trouveraient ainsi un
bon
début de solution. Mais si l’idée s’impose par sa simplicité autant q
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du monde animé par ses œuvres — Diez del Corral,
bon
Espagnol, ne manque pas d’évoquer la grande ombre du Chevalier à la T
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es, pédagogues, sportifs même… Nous sommes sur la
bonne
voie. Mais deux dangers subsistent : les centres de coordination se s
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bas d’une rédaction d’élève qu’il veut louer : «
Bon
travail, idées originales et style personnel. » Le vrai sens de l’act
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nt le bachot, et d’une extrême exigence quant aux
bonnes
manières à l’école primaire, les mauvaises manières (ou la gaucherie
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sième en plus. Nous voulons à la fois préparer de
bons
citoyens, de bons professionnels, et des hommes complets, des personn
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s voulons à la fois préparer de bons citoyens, de
bons
professionnels, et des hommes complets, des personnes autonomes. C’es
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culquer un certain bagage de connaissances, alors
bon
, discutons méthodes. Il n’y en a pas de bonne, mais il y en a de pire
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alors bon, discutons méthodes. Il n’y en a pas de
bonne
, mais il y en a de pires que d’autres. Aucune n’est capable de condui
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laisse guider et fasciner par lui. Vous serez de
bons
éducateurs dans la mesure où vous serez vous-mêmes sensibles à la réa
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ue » et « le sentiment de nationalité qui fait le
bon
citoyen ». En Italie, il s’agit d’abord « d’effacer tout résidu d’idé
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istes de l’Est. Aux USA : « Comment devenir un
bon
citoyen ? » Je prends un manuel de civisme publié à New York en 19
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-ci me demande dès la première ligne : « Es-tu un
bon
citoyen ? » et passe aussitôt à l’examen des activités d’un bon citoy
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» et passe aussitôt à l’examen des activités d’un
bon
citoyen : voter, payer les impôts, améliorer les conditions de la com
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s yeux et signa mon passeport. — Je vous souhaite
bonne
chance ! dit-il en guise d’adieu, à quoi je répondis que j’espérais l
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que la question n’était pas seulement d’avoir de
bonnes
idées, mais que ces idées devaient être implantées dans un milieu don
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e du seul fait que je luttais honnêtement pour de
bons
principes, tout le monde allait les accepter de même. Je ne comprenai
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dit Philippe Berthelot. Mais sûr de lui et de son
bon
droit, Retinger néglige tous ces avertissements. Jusqu’à ce jour d’oc
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, écrit-il, lorsque je quittai le Mexique pour de
bon
en 1936, le président Calles donna un dîner pour moi, au cours duquel
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beaucoup de leur saveur à être résumés, je crois
bon
de ne pas les omettre dans cette esquisse biographique : ils donnent
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ment à Molotov, avec lequel il avait entretenu de
bons
rapports durant sa mission à Moscou. Celt réussit à fuir plus tard en
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’interventions rapides et pressantes, toujours au
bon
moment et à la bonne adresse, sans perdre un jour et sans un seul dis
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des et pressantes, toujours au bon moment et à la
bonne
adresse, sans perdre un jour et sans un seul discours, Retinger, on p
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ci apparaît la nécessité du dialogue. Il est très
bon
que ces cultures soient différenciées mais si l’on ne veut pas abouti
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e et par suite pour l’industrie elle-même. Pas de
bonne
technique sans une culture vivante, curieuse et même aventureuse et,
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e lieu. La réponse, c’était le public présent, de
bons
juges, un milieu vivant, des instruments de création communautaire. A
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la culture. Nous ne voulons pas donner des notes,
bonnes
ou mauvaises, mais nous tâcherons d’indiquer brièvement — par des not
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que les premiers titres retenus ne soient pas de
bonne
vente dans leur pays. Qu’ils se soient trompés sur ce dernier point,
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ersonnelle des hommes qui s’y livrent : sinon une
bonne
machine électronique, convenablement informée, ferait beaucoup mieux
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ition de toute existence communautaire et de tout
bon
travail en commun, l’on sera conduit à préférer la multiplication de
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émocraties, ne saurait être un vrai démocrate, un
bon
citoyen et un bon Européen, s’il ne comprenait pas et s’il ne sentait
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rait être un vrai démocrate, un bon citoyen et un
bon
Européen, s’il ne comprenait pas et s’il ne sentait pas, presque d’in
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ifeste d’abord comme une erreur. Il appartient au
bon
maître de distinguer l’erreur due à la maladresse de l’« erreur » qui
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ce intime d’une personnalité, et dans laquelle le
bon
maître voit alors la manifestation d’une originalité. Seule l’Europe
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inséparable liberté-responsabilité qui définit le
bon
citoyen européen, correspond exactement le couple originalité-communi
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couple originalité-communication, qui définit le
bon
artiste européen. L’éducation européenne, qu’il s’agisse de civisme o
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e, traversent avec une glorieuse indifférence une
bonne
douzaine de nos frontières actuelles. Elles relient des cités, des fo
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git pas d’utiliser l’enseignement au profit d’une
bonne
cause, fut-elle européenne, mais de le rendre conforme à son objet :
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que nous bâtirons l’Europe, non sur les cadres en
bonne
partie vidés des vieilles nations. Ce passage de la nation aux région
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omporte déjà une cinquantaine de volumes82 et une
bonne
centaine d’études substantielles dues à des sociologues, à des polito
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n’ont d’autre tort que de l’être. D’ailleurs, la
bonne
ou mauvaise foi des gens de parti ne change rien à leur action concrè
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professionnelle et technique souffrent, dans une
bonne
moitié de l’Europe, c’est-à-dire dans les « régions frontalières » qu
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pas mieux si on la déplaçait. Car il n’y a pas de
bonne
frontière nationale, la moins mauvaise étant tout simplement celle qu
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mique plus vaste, plus fluente, qui est encore en
bonne
partie virtuelle, et qui appelle des mesures de développement transfr
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toire porterait sur son retrait ». « J’ai pris la
bonne
sortie devant l’histoire », ce thème revient dix fois dans les propos
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Paris, 1972. 123. Mut zur Utopie, Munich, 1969,
bon
livre au beau titre si malencontreusement traduit en français par Réf
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ntre la coutume des éditeurs français qui croient
bon
d’améliorer les titres originaux : le livre de H. Kahn s’intitule hon
70
’une impossible connaissance, dans l’espérance.
Bon
usage éventuel mais abus actuel de la prospective « scientifique »
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prolongées, des retraites anticipées, choses fort
bonnes
en soi mais que l’État n’accorde qu’en échange du droit d’aînesse des
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peine imaginable. Commentaire Je me méfie des «
bons
prophètes », de ceux auxquels l’histoire donne entièrement raison : s
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e l’Afrique et de l’Asie du Sud-Est, ainsi qu’une
bonne
moitié des pays depuis longtemps décolonisés de l’Amérique latine, se
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que je connais un peu, pour avoir collaboré à une
bonne
quinzaine d’entre eux au moins (j’en ai fait mentalement le compte to