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rait trouvé des gens devant lui, disposés à tenir
bon
… » Rien n’est plus vrai : le totalitarisme ne saurait triompher « de
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e ne saurait triompher « de gens disposés à tenir
bon
» selon l’expression de l’Italien. Or qu’est-ce qu’un homme décidé à
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’Italien. Or qu’est-ce qu’un homme décidé à tenir
bon
? C’est un homme qui a conscience de ses raisons de vivre. Ce n’est p
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nt, un héros dont l’activité se résume dans ses «
bonnes
paroles » ? Les catholiques, par contre, cultivent avec amour le souv
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sa conscience. C’est un citoyen de bon sens et de
bon
conseil, un solide paysan, les deux pieds sur la terre, et non pas un
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te l’exemple du Frère Claus dans un sermon sur le
Bon
berger et les mauvais bergers. Puis en 1524, il rappelle les conseils
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umain, ni trop vaste ni trop étroit. Il n’est pas
bon
que l’homme soit seul ; il n’est pas bon non plus que l’homme soit fo
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’est pas bon que l’homme soit seul ; il n’est pas
bon
non plus que l’homme soit foule. Le monde rationaliste et libéral sup
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e, on ose à peine le dire, une épreuve dérisoire,
bonne
pour des spectateurs… Pourtant, si nous en triomphons, elle nous donn
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que nous sommes Suisses, mais nous devons être de
bons
Suisses parce que nous sommes chrétiens d’abord. Gardons-nous du Schw
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manifestes ne doivent pas nous faire négliger le
bon
usage, l’usage chrétien d’une liturgie chrétienne. La science consomm
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que le sermon, s’il n’est pas exceptionnellement
bon
, risque bien de la laisser sur sa faim. En sortant de là, elle ne sau
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à ces choses-là, et je pense qu’elles avaient de
bonnes
raisons de le faire. Elles savaient qu’une certaine participation per
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et les calvinistes français jugent nécessaire et
bon
d’avoir une liturgie, comment se fait-il que nos Églises suisses soie
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rieusement le problème de la liturgie, tant à nos
bons
théologiens qu’aux laïques, généralement ignorants de cette question,
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ditionnelle, dite « chrétienne », et sont déjà en
bon
train d’y parvenir dans plusieurs domaines importants. Au lieu de ser
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les règles normalement, on n’est pas pour autant
bon
ou mauvais : simplement on joue bien ou mal. Point de « péché » dans