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oit que l’on se découvre légalement grugé, il est
bon
de sentir qu’au-dessus de cette vie plane une loi meilleure, un espri
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nt nous, d’une faim trop facile à tromper. Il est
bon
, il est nécessaire que la littérature enseigne le public. Encore faut
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issotière, ha ! ha ! ha ! Ça me rappelle une bien
bonne
histoire, vous devriez lire ça, Clochemerle que ça s’appelle, je ne s
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e « élite » bourgeoise en faillite ? Comptabilité
bonne
peut-être pour l’historien de la littérature. Nous n’avons pas le cœu
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s près et à vingt ans, une étudiante ; et pour de
bon
, deux ans plus tard, une femme mariée. Enfin il retrouve l’étudiante
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s d’un type particulier, dont la page 39 donne un
bon
exemple, trop long à citer, la phrase ayant 18 lignes (il y en a de b
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ussi peu de l’esprit que nos commissaires sont de
bons
écrivains. IV. Le spiritualisme consacre le préjugé utilitaire
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ou bien tenue à tort pour « théorique ». J’ai cru
bon
d’aller la saisir dans ses aboutissements les plus voyants, ou pour p
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it est une pure description 32. On assure ainsi à
bon
compte la rigueur des constructions intellectuelles allégées de toute
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assurances, leur hygiène proprette, leur idéal du
bon
écolier type, ce n’est jamais au nom d’un naturisme romantique48. C’e
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imes, leurs partisans finissent par me répondre :
Bon
ou mauvais selon vos idées, c’est ce régime qui nous a délivrés de la
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pour cela de l’écrire, de « jouer sa provision de
bon
air contre du papier noirci », et il rapporte 300 pages, qui resteron
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fférence, que ceux qui sont et qui se sentent du “
bon
côté”, marquent à l’égard des “inférieurs”, des domestiques, des manœ
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pleuvait. Vendredi, c’était grand soleil. Et les
bonnes
femmes disaient, au seuil du temple : « Voyez-vous ça, comme tout est
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resque humain. La maison la plus proche est à une
bonne
demi-heure. Il n’y a pas de route. On imagine de vivre là, dans un st
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alheur » de notre jeunesse, lequel ne saurait, en
bonne
logique, expliquer les doctrines d’un Barrès ou d’un Sorel, — qu’au s
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ès ou d’un Sorel, — qu’au surplus nous renions en
bonne
partie. Ce pataquès donne la mesure de la « cohérence » d’une pensée
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ieux. Ce serait à croire parfois que pour être un
bon
Suisse, il faut et il suffit que l’on soit un bon soldat. Peut-être o
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bon Suisse, il faut et il suffit que l’on soit un
bon
soldat. Peut-être oserons-nous rappeler qu’il existe d’autres manière
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fle révolutionnaire, ce serait trop dire, mais un
bon
courant d’air passe dans les derniers numéros de ces cahiers. L’extrê
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manisme. Que dit l’Apôtre ? « Je pense qu’il est
bon
pour l’homme de ne point toucher de femme. Toutefois, pour éviter l’i
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à que les choses pourraient se gâter… Quant à nos
bons
voisins « latins », je ne sais pourquoi, chaque fois que nous leur se