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nde et constante ambition a été de construire une
bonne
machine routière. » Les étapes de sa jeunesse sont : la construction
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é l’œuvre de la Création », comme dit Ferrero. Le
bon
peuple s’extasie. Il ne peut voir la duperie : ce jeu du chat et de l
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de confection voici le Citoyen du Monde, voici le
Bon
Européen, voici l’Américain à rendement maximum. Et comptez que l’on
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sme, plus-value. — Qui donc nous aurait révélé de
bonnes
raisons brutales, de bonnes raisons humaines, de nous intéresser à l’
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nous aurait révélé de bonnes raisons brutales, de
bonnes
raisons humaines, de nous intéresser à l’Asie : les grèves à Bombay,
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ous. Naturellement, nous nous sommes montrés très
bons
à son égard… » L’on conçoit que Blanche malheureuse, isolée, cherchan
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i l’on ose dire, — où il fait vivre d’imaginaires
bons
sauvages. Et pour la grande majorité de ceux qui, après lui, feront i
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littérature. L’ouverture s’est faite, mais non du
bon
côté ; l’âme, que tourmente un suprême besoin d’épanchement, s’est dé
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forme, besoin minoritaire de trouver des alliés à
bon
compte sur un terrain où la compromission semblait pratiquement accep
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e la nature humaine, qui, selon cette vue, serait
bonne
, ou du moins meilleure, si on la « préservait » du mal. Ainsi Roussea
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à « réaliser » dans nos actions ce que Dieu jugea
bon
de nous révéler dans l’Évangile. Et en présence de l’intempérance de
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ur des hommes. Ce n’est pas une férule : c’est un
bon
outil qu’il nous faut. Ce n’est pas son pessimisme que je reproche à
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tre dans l’esprit de quelques-uns. Je sais que le
bon
ton, dans certains milieux bien-pensants, veut qu’on dénonce le règne
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al… Jésus lui répondit par une parabole, celle du
Bon
Samaritain. Et le docteur de la loi découvrit cette vérité que toute
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dicateur Général de la Cour, le favori élu par la
bonne
société ; il paraît devant une assemblée choisie d’élus, et prêche av
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examen de son milieu, aux idoles édifiées par ses
bons
sentiments ou par sa peur de la réalité, celui-là n’est pas né à la f
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chose de mauvais. Juste et profond. Et toujours
bon
à rappeler, à ces « chrétiens » que terrorise l’idée même que le chri
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it de savoir si la nature actuelle de l’homme est
bonne
ou mauvaise. La foi nous montre qu’elle est mauvaise. Dans ce sens, i
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tre nature. Et je m’explique mal pourquoi tant de
bonnes
âmes s’indignent lorsque Kierkegaard défend avec puissance cette véri
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e croit autre chose, s’il croit que la nature est
bonne
, pourquoi crie-t-il si fort que « l’homme est quelque chose qui doit
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du tout le monopole : tout catholique se doit, en
bonne
logique, de les faire siens puisqu’il croit au mérite des œuvres ; et
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ie de la personne, elle sera normalement celle du
bon
citoyen d’une fédération. La devise paradoxale du fédéralisme helvéti