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des sacrifices humains. Le dieu-nation respire la
bonne
odeur d’onze millions de morts sacrifiés en quatre ans à sa gloire. M
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ante ? Oui, pour ceux qui cherchent des espoirs à
bon
compte, hors de la réalité certainement désespérante. Mais il y a la
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e l’Homme — peut être caractérisé dans ses effets
bons
et mauvais par le mot de séparation. D’une part, il constitue le ress
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qui ne peut plus rien faire ici-bas d’utile et de
bon
pour autrui ni pour soi ». Enfin, il précise qu’on y atteint le mieux
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e confronter la doctrine chrétienne telle que les
bons
docteurs de la Réforme nous l’enseignent, avec l’ensemble vague et co
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sser l’homme d’un temps à l’autre, c’est par le «
bon
plaisir » de Dieu seul que nous pouvons devenir contemporains de sa P
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“ondes radioactives du Salut”, cela s’appelle, en
bonne
scolastique, la grâce infuse ! et si toute notre humanité est soumise
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rés par l’Esprit saint, ils ne sauraient être, en
bonne
logique, ses juges. Il faut donc admettre ou bien que les conciles so