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mmes du monde », hommes de toutes les fortunes et
bonnes
fortunes, et traversant la vie dans un murmure flatteur, comme on peu
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raits, me paraît tendre vers la même limite, et à
bon
train si l’on n’y veille ; dégradation et domestication de l’intellig
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leurs, et de publier, pour compenser sa perte, de
bonnes
petites histoires coquines. (Il est certes des exceptions à cette règ
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iale qui, elle, ne sera soucieuse que de plaire à
bon
compte, c’est-à-dire de flatter des instincts, d’offrir des paradis a
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ment ses blessures : signe que sa circulation est
bonne
. Si les oppositions politiques les plus violentes laissent peu ou poi
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cts, et dont l’amitié seule avait fleuri comme un
bon
vin. Et j’ai feuilleté des éditions si belles qu’on se demande quels
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est plus grande que la Suisse ; qu’il fallut une
bonne
guerre pour briser le tabou des souverainetés cantonales absolues ; q
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e sont pas socialistes, ou ne le sont pas avec le
bon
accent. Comment s’unir avec des gens pareils ? Leur existence est pur
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zarres. Votre Assemblée, selon lui, peut faire du
bon
travail, pourvu qu’elle n’ait aucun pouvoir. Mais le Comité ministéri
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ostentation, et ne se privait pas de haranguer le
bon
peuple à la sortie de la messe, en vieux père de famille. C’est ici q
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comment ne pas voir qu’ils sont au moins d’aussi
bons
Suisses que ceux qui, trop souvent, en toute indifférence et ignoranc
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dit n’importe quoi, parce qu’on n’a pas fait une
bonne
analyse de la situation. Quand Sartre dit aux étudiants « cassez l’Un
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ré : « Le pouvoir personnel finit toujours mal. »
Bon
. Mais qu’en est-il du pouvoir impersonnel ? Le cas des quatre Républi