1 is sortis de l’école. Rien ne ressemble plus à un bon élève qu’un instituteur : de l’un à l’autre il n’y a pas de solution

2 nstrument le plus parfait s’appelle le manuel. Un bon manuel est un résumé clair et portatif des résultats actuels d’une sc

3 s délicats par les plus vulgaires ? L’idéal du bon élève Le bon sens voudrait que le bon élève soit celui qui sait ut

4 idéal du bon élève Le bon sens voudrait que le bon élève soit celui qui sait utiliser pour son profit humain la petite s

5 t de poche, ni plus ni moins.) Ou encore : que le bon élève soit celui qui supporte le mieux le traitement scolaire ; celui

6 que je ne puis m’empêcher de trouver suspecte. Le bon élève est celui qui a de bons points. Or les bons points vont aux par

7 trouver suspecte. Le bon élève est celui qui a de bons points. Or les bons points vont aux parfaits imitateurs. Oyez-moi tou

8 bon élève est celui qui a de bons points. Or les bons points vont aux parfaits imitateurs. Oyez-moi tous ces petits phonogr

9 dangereuse de ceux qui voient avec leurs yeux. Le bon élève est aussi l’élève discipliné. L’école veut que partout la valeu

10 . Tous ceux qui ont eu l’occasion de comparer les bons élèves de diverses classes d’un collège ont été frappés de constater

11 u’ici sont en général judicieuses, dictées par le bon sens7 et retouchées par le pédantisme inhérent à toute science. On a

12 ait de farces, vous allez feindre de trouver bien bonne celle-ci : je prétends que l’instruction publique est une puissance c

13 oujours assez pour allumer des feux de joie, etc. Bon . Supposons tout cela fait. Respirons. Mais déjà vous m’attendez à ce

14 s étouffer. Cependant, je ne crois pas qu’il soit bon que tous progressent de la même manière. Dans un système de culture s