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plans, celui de la guerre y compris. Mais il est
bon
de préciser, fût-ce à l’aide d’un seul exemple. L’Allemand, dit-on, e
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Richard Strauss a levé la tête, il reçoit sur son
bon
visage où cette rosée divine fait perler une larme, la bénédiction de
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tales plus que documentaires, peut-être serait-il
bon
que je parsème ce texte de quelques noms impossibles et de beaucoup d
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et la Basilique sur son rocher. Fraîches, sentant
bon
, avec des livres sur des divans aux riches couleurs, des boissons pré
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un lyrisme distingué ? Il faut choisir entre les
bonnes
manières et les belles manières. Et quant à ceux qui n’ont pas le pou
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ar goût du bavardage. Les Suisses aiment avec une
bonne
ou une mauvaise conscience. À Vienne on voit des couples qui savent ê
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ur connaît Hölderlin ? questionne-t-il, méfiant —
bon
, bon, parce qu’il y en a qui viennent, n’est-ce pas, ils ne savent pa
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nnaît Hölderlin ? questionne-t-il, méfiant — bon,
bon
, parce qu’il y en a qui viennent, n’est-ce pas, ils ne savent pas tro
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que tout cela existe dans le même monde ? (Il est
bon
de poser parfois de ces grandes questions naïves.) Lui aussi a vécu d
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emps même qu’il nous entrouvre le ciel, qu’il est
bon
qu’il y ait la terre… Mais que cette musique vulgaire, par quel hasar
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il eût fallu vivre tout entière et qui n’est plus
bonne
qu’à dormir… Alors j’ai eu ce regard étrangement oblique, glissé comm
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uillet 1929 Le père Reinecke me félicite de ma
bonne
mine, résultat selon lui de l’excellente cuisine que nous sert la Gnä
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a Gnädige. Je n’aurais plus l’air citadin. Allons
bon
, félicitons l’hôtesse. Au reste il s’agit bel et bien d’une question
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et traînants. Le beau temps n’est pas toujours le
bon
, si l’expression veut qu’il figure le contraire du « mauvais ». Les j
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stilité, comment accueillir avec un cœur viril et
bon
le spectacle de ces corps amaigris, énervés ? Un cœur viril et bon co
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de ces corps amaigris, énervés ? Un cœur viril et
bon
comme celui d’Andersen, un tel cœur ne se fermerait pas devant la hai
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l’approbation que je pourrais leur en témoigner.
Bon
pour les gens des villes, toujours inquiets, toujours doutant de leur