1
e ceux dont on puisse parler avec une légèreté de
bon
aloi. Je ne m’excuse pas du sérieux peut-être pesant des considératio
2
n’est pas conduit par des raisons, plus ou moins
bonnes
, mais par des folies qualifiées, adorées comme telles par les masses
3
me et combine ; cesse de croire par exemple qu’un
bon
agent électoral est un homme qui connaît les hommes ; cesse de s’en l
4
tre dans l’esprit de quelques-uns. Je sais que le
bon
ton, dans certains milieux bien-pensants, veut qu’on dénonce le règne
5
al… Jésus lui répondit par une parabole, celle du
Bon
Samaritain. Et le docteur de la loi découvrit cette vérité que toute
6
l’ensemble, ses droits dépendent, en pratique, du
bon
plaisir de l’État. Tout au contraire, des lois fondées sur la personn
7
tants du Parti19, c’est lui qui fait trembler les
bons
bourgeois, précisément parce que, contre lui, ils se sentent privés d
8
. Les marxistes croient que l’homme primitivement
bon
a été gâté par des institutions sociales irrationnelles, et qui l’ont
9
des sacrifices humains. Le dieu-nation respire la
bonne
odeur d’onze millions de morts sacrifiés en quatre ans à sa gloire. M
10
« destin » ? Et comment pourrait-il croire à ces
bons
apôtres dont la ferveur s’excite dès que les rentes sont menacées, à
11
rlant des autres ou parlant en général : ceci est
bon
, moral, cela est mauvais, immoral, — porte un jugement d’humaniste, m
12
réel du fascisme n’apparaît pas à la majorité des
bons
bourgeois. Les fusillades, les passages à tabac et l’huile de ricin l
13
nots dans les Cévennes. 53. Les avantages et les
bonnes
raisons du fascisme, italien surtout, ne sont pas niables. Mais je n’
14
ables. Mais je n’ai pas ici à marquer des points,
bons
ou mauvais. Ce qui m’importe, ce sont les fins spirituelles, l’enjeu
15
57. La seule révolution qu’elle légitimerait, en
bonne
logique, serait une révolution contre la construction entreprise par
16
e l’inhumaine « condition prolétarienne ». Il est
bon
de noter que cette conception dépasse les rêveries marxistes dans leu