1 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
1 règne l’opinion qu’avant “c’était tout de même le bon temps”. Du point de vue égoïste de ces étudiants d’hier, c’est compré
2 ompréhensible. Pour eux et leur caste, c’était le bon temps ! Il doit être pénible de « s’abaisser » de l’état de demi-dieu
3 à celui de « camarade » (!!!) populaire. On fait bonne mine à mauvais jeu. Mais intérieurement on enrage, et à la table de c
4 ême, d’être un danger pour leurs voisins. Moi. —  Bon . Admettons. C’est là que nous en étions restés. Je vous avais dit pou
5 et vous allez faire l’exercice dans la campagne. Bon , voilà qui est simple. Moi, c’est plus compliqué à expliquer… et peut
6 ù elle devienne féconde. Lui. — Je vous souhaite bonne chance ! 25 janvier 1936 Anas. — L’avocat me questionnait sur
7 J’étais au premier rang, à deux mètres de lui. Un bon tireur l’eût descendu très facilement. Mais ce bon tireur ne s’est ja
8 on tireur l’eût descendu très facilement. Mais ce bon tireur ne s’est jamais trouvé, dans cent occasions analogues. Voilà l
9 38.) On a supprimé, pour la présente publication, bon nombre de remarques sur des personnes privées, et quelques interrogat
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10 dire. Il faut en parler sérieusement. ⁂ Il y a du bon et du mauvais dans ce régime, dites-vous ? À prendre les choses une à
11 dre les choses une à une, j’y trouve même plus de bon que de mauvais, si toutefois je parviens à me placer aux environs du
12 ies plus ou moins naïves que nourrissent dans nos bons pays les « nationaux » et en même temps les « socialistes ». Les nazi
13 tes et papen contre Hitler : tout cela est bel et bon , et fournit de la copie aux marxistes et aux libéraux. À les lire, on
14 e, et au nom du bon sens. Ils me rappellent cette bonne vieille femme qui apportait pieusement son petit fagot au bûcher du s
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15 que par la guerre. Hors de toute volonté humaine, bonne ou mauvaise. On me dira sans doute qu’il est trop tard. Désespérer de