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ait tout ton devoir, et le Seigneur nous a bénis.
Bon
capitaine dans les guerres, bon juge ensuite en nos villages, et te v
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eur nous a bénis. Bon capitaine dans les guerres,
bon
juge ensuite en nos villages, et te voici avec tes dix enfants, seul
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Landamman ! Le Landamman. — Cet homme est un
bon
citoyen. J’en témoigne ! Il a rendu de grands services à sa commune e
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dirait que tu nous dis adieu ! Nicolas. — Mes
bons
petits !… Bonsoir ! Tous. — Bonsoir ! Nicolas. — Adieu ! (Il
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ce, pour voir le frère Claus. L’ombre. — À la
bonne
heure ! On n’attendait plus que vous ! Le village est plein comme une
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te, et ils inventent encore des miracles, pour le
bon
poids. 1er valet. — Pour moi, s’il vient tant de monde, c’est un
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igneur. — Si tous les pauvres étaient comme toi,
bon
frère, ils ne songeraient pas à la révolte. Nicolas. — Tu dis vra
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. Mais écoute-moi : si tous les riches étaient de
bons
chrétiens, ils n’auraient pas à craindre de révoltes. Hélas ! je vois
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te suivrons comme les pauvres jadis suivaient le
bon
Berger de Galilée. Et tu nous obtiendras justice ! Tous. — Sois n
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aut la force ! 2e pèlerin. — Tu nous payes de
bonnes
paroles, et nos enfants crient pour avoir du pain ! Tous. — Du pa
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luire aux yeux des Suisses ! Ah ! vous êtes deux
bons
oiseleurs ! Qu’avons-nous besoin de richesses ? Je vous le dis en vér
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L’ambassadeur de France. — Eh bien ! voilà du
bon
gibier pour messieurs nos agents recruteurs ! Scène iv. Voix
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ptent et reçoivent en notre alliance fédérale les
bonnes
villes de Fribourg et de Soleure. N’ont-elles pas vaillamment combatt
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Dieu lui-même ne les signe dans leurs cœurs ! Va,
bon
frère, et hâte-toi ! Haimo. — Adieu ! (Il fait deux pas.) Nico
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quoi nous acceptons dans notre Confédération les
bonnes
villes de Fribourg et de Soleure. Les députés doivent emporter le sou