1 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
1 n sans succès, en particulier par sa politique de bon voisinage avec l’Amérique latine. Cette politique comportait deux bra
2 ment ses blessures : signe que sa circulation est bonne . Si les oppositions politiques les plus violentes se résolvent si rap
2 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
3 fascisme comme Roland transperçait les Sarrazins. Bon garçon, le chapeau de travers sur quelques idées simples mais honnête
4 a veille. Il entre avec sa femme. Il a l’air d’un bon garçon bien correct et bien banal. On essaie de parler musique, Mozar
5 aria de Schubert, n’est qu’une suite de cartes de bons vœux comme il s’en envoie des millions à chaque Noël en Amérique.) Ma
6 se déchaîner devant lui, bien visible, pendant un bon quart d’heure, avec l’assentiment du rire de la foule. ⁂ Les création
7 ant au public… Eh bien ! pendant que j’y suis, un bon conseil : ne croyez pas que le grand public déteste autant que vous l
8 is, pour des raisons géographiques d’abord. Les «  bons écrivains » que vous connaissez en Europe, sont dispersés aux quatre
9 lion de dollars. L’État en retient d’ailleurs une bonne moitié sous forme d’impôts. Mais ce qui reste suffit pour une vie rai
10 grand public américain sait peu de choses de nos bons écrivains. De la France, il retient quatre ou cinq noms, si disparate
11 plaignez-vous ? dit-il enfin. Votre article était bon , tel qu’il fut publié. Il a paru, il a porté, trois millions de perso
12 ns ce qu’a pensé l’editor. Il a trouvé la matière bonne , il a mis votre article en état de marche, et grâce à lui on vous a p
13 e sont naturellement accordés au niveau d’un très bon journal ? Ce réglage parfait sur les longueurs d’ondes les plus facil
14 onstruit au xxe siècle copie scrupuleusement les bons modèles gothiques.) Je remonte la Cinquième Avenue, en partant de Was
15 est vu curieusement négligé par presque. tous les bons observateurs européens de l’Amérique. Ouvrez le New York Times : vous
3 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
16 ’elle dépend le reste des États-Unis. Déguisée en bonne vieille Mom, chère vieille Mom, votre Mom aimante, etc., elle est la
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
17 llent fiévreusement, c’est que l’organisation est bonne . Et dans ces ascenseurs express qui ne mettent que trente secondes po
18 des céréales ; vous dépensiez plus qu’eux dans le bon temps pour avoir un bifteck et du vin rouge. Ils ne lisent pas tous P
19 ouloirs de la Chambre, mais c’est au contraire de bon ton.   Parler en public. — Well…, commence l’orateur, et il promène
20 Américain ne demande pas d’abord qu’un livre soit bon en soi, mais qu’il soit efficace et opportun, selon les prévisions ét
21 e, tant de hasards, tant de manières de vivre, de bonnes et de mauvaises fortunes, par chance… Le sourire large des Américains
22 , elles ne sont pas chiffrées. C’est : excellent, bon , suffisant ou défectueux. Et elles ne portent pas seulement sur l’his
23 à que les choses pourraient se gâter… Quant à nos bons voisins « Latins », je ne sais pourquoi, chaque fois que nous leur se