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’autre est un parfait gentleman qui croit que les
bonnes
manières viendront à bout de tout. Mais, si la brute se jette soudain
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pas que l’Américain et le Russe n’aient quelques
bonnes
raisons de se comporter ainsi, je dis seulement que leurs raisons ne
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valeurs propres de l’Europe. Ce sera peut-être un
bon
moyen de les définir dans l’actuel. Sauver l’Europe — c’est simple à
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u de l’État. À vrai dire, il ne l’a pas volé ! Le
bon
moyen d’éviter des excès d’engagement dans le Parti, d’oppression par
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ette vue, la Suisse moderne serait une sorte de «
bon
exemple » à suivre. Rien de plus banal que cette référence à la Suiss
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issent aussitôt : « Tout cela, dit-on, est bel et
bon
pour un petit pays, mais n’est pas applicable aux grands. De plus, il
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ns de notre vocation. Nous n’arriverons à rien de
bon
, dans ce congrès et dans tous ceux qui doivent le suivre, si nous ne
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tte société les éléments que l’on considère comme
bons
, et l’on en compose un système qui serait en équilibre permanent, à l
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es prétentions des partis. ⁂ Même s’il y avait de
bonnes
raisons historiques d’inclure les Russes — la Sainte Russie ou les So
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ou de quelque congrès d’intellectuels. Invités en
bonne
et due forme, les Russes répondent en tirant le rideau de fer à grand
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. La victoire totale d’une doctrine — fût-elle la
bonne
, ou disons : la meilleure — ou bien reste sans lendemain, ou bien pré
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ent contre le projet Reynaud, certains avaient de
bonnes
raisons, d’autres des craintes tenant lieu de raisons, d’autres enfin
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« Si le projet se réalise, c’en sera fait pour de
bon
de la sacro-sainte souveraineté de l’État-nation. Nous voulons bien l
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ctions) dans le bref délai qu’on nous propose ? »
Bonnes
raisons : « Ce projet, purement quantitatif, défavorise les petites n