1 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
1 tance. À cent à l’heure, en terrain plat, sur une bonne piste, 3 heures de parcours. Mais je dis bien : réduite à la platitud
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
2 r mutuellement de toutes leurs forces, secours et bons offices, tant au-dedans qu’au-dehors du pays, envers et contre quicon
3 an libre de la Suisse centrale, de bon sens et de bon conseil, les deux pieds sur la terre, et très pieux. Mais une secrète
3 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
4 plutôt qu’à s’exposer aux risques de détruire le bon usage avec l’abus. Nous verrons au chapitre suivant que la situation
4 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
5 re joue un rôle essentiel. « C’est sans doute une bonne fée, écrit André Siegfried, qui, lors de sa naissance a dit à ce pays
6 des bulletins de marche quand les résultats sont bons . L’Université de Neuchâtel a son laboratoire de recherches horlogères
7 lui, essentiellement industrielle. S’il est un «  bon client » pour la technique moderne, le Suisse moyen l’est aussi, on l
5 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
8 les Suisses se bornent à un échange insistant de bons conseils, d’avis moraux, de recettes d’hygiène, d’admonestations reli
9 d’histoire, d’arithmétique, de grammaire et de «  bonne conduite ». L’autre attitude ou tradition pédagogique, qui se dévelop
10 de toute une classe ou d’un parti. Passer pour un bon soldat ou un bon officier est généralement « bien vu » dans toutes le
11 se ou d’un parti. Passer pour un bon soldat ou un bon officier est généralement « bien vu » dans toutes les couches de la p
6 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
12 esque entièrement catholiques. Cela s’explique en bonne partie par l’attraction qu’exercent les plus grandes villes, autrefoi
7 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
13 Suisse-là, précisément, doit être la dernière, en bonne logique, à s’intégrer dans l’édifice que l’on projette, car ce n’est