1
tance. À cent à l’heure, en terrain plat, sur une
bonne
piste, 3 heures de parcours. Mais je dis bien : réduite à la platitud
2
r mutuellement de toutes leurs forces, secours et
bons
offices, tant au-dedans qu’au-dehors du pays, envers et contre quicon
3
an libre de la Suisse centrale, de bon sens et de
bon
conseil, les deux pieds sur la terre, et très pieux. Mais une secrète
4
plutôt qu’à s’exposer aux risques de détruire le
bon
usage avec l’abus. Nous verrons au chapitre suivant que la situation
5
re joue un rôle essentiel. « C’est sans doute une
bonne
fée, écrit André Siegfried, qui, lors de sa naissance a dit à ce pays
6
des bulletins de marche quand les résultats sont
bons
. L’Université de Neuchâtel a son laboratoire de recherches horlogères
7
lui, essentiellement industrielle. S’il est un «
bon
client » pour la technique moderne, le Suisse moyen l’est aussi, on l
8
les Suisses se bornent à un échange insistant de
bons
conseils, d’avis moraux, de recettes d’hygiène, d’admonestations reli
9
d’histoire, d’arithmétique, de grammaire et de «
bonne
conduite ». L’autre attitude ou tradition pédagogique, qui se dévelop
10
de toute une classe ou d’un parti. Passer pour un
bon
soldat ou un bon officier est généralement « bien vu » dans toutes le
11
se ou d’un parti. Passer pour un bon soldat ou un
bon
officier est généralement « bien vu » dans toutes les couches de la p
12
esque entièrement catholiques. Cela s’explique en
bonne
partie par l’attraction qu’exercent les plus grandes villes, autrefoi
13
Suisse-là, précisément, doit être la dernière, en
bonne
logique, à s’intégrer dans l’édifice que l’on projette, car ce n’est