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Aspre vie meinent et dure : Tant s’entr’aiment de
bonne
amor L’un par l’autre ne sent dolor. Dira-t-on que les poètes de cet
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raire de rhétorique. Il ne sera jamais à court de
bonnes
raisons pour démontrer qu’il n’est responsable de rien… Imaginons mai
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r ? Ce serait le désespoir, s’il n’y avait pas la
Bonne
Nouvelle ; et cette nouvelle, c’est que Dieu nous cherche. Et il nous
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oubadours furent des faibles d’esprit, tout juste
bons
à répéter sans se lasser des formules apprises on ne sait où. Et je m
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idée d’une création unique, toute divine et toute
bonne
aux origines. Notons enfin ce dernier trait : comme ce fut le cas pou
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n doit point défaire Ni jamais joie, ni douce, ni
bonne
, Ne puis entrevoir en promesse : Cent joies aurais-je par prouesse N’
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soit enfin comme dans le manichéisme, en un Dieu
bon
qui est pur esprit et un Démiurge qui domine la matière et la chair.
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de répugnance à opérer ce renversement, qu’il est
bon
d’entrer plus avant dans le mécanisme des transpositions, et même de
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la vie quotidienne. Sainte Thérèse ne tenait pour
bonnes
que les visions qui la poussaient à mieux agir, à mieux aimer. Surtou
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pasticheurs infatigables, Bonagiunta de Lucques.
Bonne
occasion de définir le dolce stil nuovo, le style savant et caressant
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Rome a triomphé. Mieux vaut dès lors se mettre du
bon
côté avec l’honnête et réaliste Sancho Pança… 7. Roméo et Juliette
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est significatif qu’à la fin du xviie siècle, un
bon
lettré comme Robert Kirk, théologien et humaniste, ait écrit un trait
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lles des cathares. Comme eux, Milton croit que le
bon
désir procède des principes intellectuels, et qu’il doit nous purger
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e son hôtesse, elle lui dit que le Forez était un
bon
pays de forges et qu’on y travaillait fort bien le fer. « Cette bonne
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n ne saurait nous refuser. » Voici qui est bel et
bon
. Mais nous n’oublions pas que ce refus de la contrainte fatale, cette
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mité des « qualités » devient la mesure idéale du
bon
mariage : curieuse analogie avec la Chine. Et de fait, c’est à partir
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la résoudre. En matérialiste grossier — c’est la
bonne
espèce, la plus franche — il supprime simplement tout problème, grâce
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nconscient. À force de l’entendre répéter par les
bons
juges, on a fini par croire que le Tristan de Wagner est un drame du
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out au début d’une guerre. Je suis persuadé qu’un
bon
général pourra la faire toute sa vie sans s’y voir obligé. » S’il fau
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je serais tenté de proposer, fût-elle jugée « la
bonne
» par le siècle à venir, serait aujourd’hui frappée d’inefficacité, o
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humanisme. Que dit l’Apôtre ? Je pense qu’il est
bon
pour l’homme de ne point toucher de femme. Toutefois, pour éviter l’i